Abel Johnson
20 ans - 17 juin 1972 (n'oubliez pas que nous sommes en 1992)
Origine : Anglais
Métier : Assistant dans les écoles, vous savez les dames avec la maîtresse, enfin c'est un mec mais c'est pareil
Avatar : Sam Claffin
Autre : Eventuellement une remarque, demande, un souhait, indication de double compte, un pense-bête...
Description physique : Abel est un jeune homme que l'on remarque assez aisément dans la foule. Il est assez grand et assez fin. Il n'est pas particulièrement musclé mais ne vous y fiez pas car ses grandes mains sont assez puissantes et douloureuses si elle rentre en contact avec votre joue ^^. Il a un visage qui lui confère plus d'année qu'il en possède réellement, il aime aussi porter une petite barbe de quelques jours qu'il lui donne un air assez cool à ses yeux, mais qui accentue cet impression de vieillesse. Niveau vestimentaire il n'aime pas faire dans le chichi et est généralement habillé décontracté, jean t-shirt et basket.
Caractère et capacités : Gentil, voilà le mot qui décrit le plus aisément Abel, gentil mais impulsif malgré tout, il vas facilement défendre ceux qui sont en difficulté mais sans réfléchir à ses actes, aussi peut il se retrouver très vite en difficulté. Dans la moyenne il a vite abandonné l'idée de faire de grande études, il ne sait pas trop pourquoi mais c'est ainsi. Quand Abel aime il ne compte pas, il se montre généreux mais aussi assez jaloux, il ne supporteras pas qu'on tourne autour de l'élue de son cœur, car il à trop peur de la perdre. Son plus grand défaut est surement de ne penser aux conséquences que quand c'est trop tard, il se met souvent dans des situations pas possibles.
Histoire : Le bébé pousse son premier cris, la mère pleure attendrie et le père regarde son fils d'un air attendrit. Abel regarde le visage de ses parents et pousse un petit bruit qu'on pourrait apparenter à un rire, voilà comme il est Abel, joyeux. La mère le prend dans ses bras alors que la petite fille se rapproche pour regarder ce bébé qui fait maintenant partit de la famille. La jeune fille n'est pas ravie, de se voir piquer sa place, elle regarde ce bébé et dans ses yeux on voit la haine, enfin le bébé la voit, les parents eux ne l'aperçoivent pas, ou bien il l'ignore mais ce n'est pas un bon présage. Le bébé se porte bien, rien n'arrive à expliquer comment, une nuit, une semaine plus tard, alors que la mère et l'enfant son rentré depuis deux jour, l'enfant manque de trouver la mort dans son sommeil, personne, hormis la grande sœur, qui regarde l'ambulance arrivé avec un sourire, mais elle a loupé son coup.
Abel grandit, évitant par miracle les nombreuse tentatives de meurtres de son aînée, il n'a jamais compris d'ailleurs, trop idéaliste, il a toujours crut qu'il se mettait lui même dans toutes ces situations aussi mortelle les unes que les autres. Il aime sa famille, sa sœur aussi et il souffre du rejet de celle-ci, aussi finit elle par s'attacher de façon un peu trop exclusive à sa mère, car celle ci lui donne tout l'amour qu'elle peut, accentuant encore la jalousie de sa sœur. La naissance de sa petite sœur fut une trêve pour lui, sa grande sœur arrêta de le maltraiter et se mura dans le silence. Abel lui aurait pût devenir comme sa sœur, être jaloux de la petite, mais loin de là, il se montra un grand frère parfait, attentif et dévoué.
Sa vie continua normalement, enfin assez normalement si on oublie le fait que sa sœur disparue le jour de ses dix huit ans, il n'eut jamais plus de nouvelle, ses parents non plus, ça l'affecta, mine de rien. Il ne le montra jamais, restant le grand frère souriant et attentionné qu'il avait toujours été, on le considéras comme l’aîné et plus personne ne parla de la première fille. Abel était maintenant l’aîné d'un assez grande fratrie, puisqu'il y avait eu trois autres enfants après la petite fille, il aimait avoir une grande fratrie, car il y avait toujours quelqu'un pour vous occupez. C'est à ce moment là qu'il choisit que plus tard il travaillerait auprès des enfants.
Il n'aimait pas les cours et l'année de ses seize ans il était à deux doigt de quitter le système scolaire. Pourtant il y eu un miracle et ce miracle portait le nom de Théa, quand elle rentra dans sa classe il eut tout de suite un coup de foudre pour elle. Il passa les premier jour à la regarder, sans oser lui parler. Dans la cour il ne la quittais pas des yeux et les seul fois où il bougeait était pour flanquer une raclée à celle et ceux qui critiquait Théa dans son dos, il ne le supportais pas, personne n'avait le droit de la critiquer, car Théa était Théa.
Un jour il lui parla et il découvrit qui était vraiment Théa, il en voulut au monde entier, aux parents de la jeune fille surtout, pour ce qu'il avait fait. Il aimait Théa, il n'était pas certain que ce soit réciproque mais il l'aimait il était à près à tout pour elle. Cependant un soir alors qu'il rentrait il la trouva là, assise sur son pallier, il alla la prendre contre lui et elle lui dit, qu'elle allait partir. Il la pressa fort et garda le silence, que dire. Ils resterent longtemps silencieux puis il demanda :
– Tu rêves ?
– Oui.
– Et il se termine bien, ton rêve ?
– Tout dépend de toi.
Il la pressa fort contre lui avant de fermer les yeux. Le lendemain elle n'était plus là.
Il mit un moment à trouver là où elle avait été emmené, mais il la trouva, pour elle il pouvait soulever des montagnes. Un jour alors que ses parents dorment, il regroupe son argent, il prend sa carte, ses affaires et part, comme un voleur, comme sa sœur, à croire que c'est une tradition familiale de partir de la maison sans un mot pour ne plus revenir. Il prend un bateau et arrive sur cette île, il trouve un métier, un petit logement et tout les jours il regarde ce bâtiment qui surplombe l'île, l'orphelinat, il n'ose pas y rentrer, même si il sait que Théa est là bas.
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