La brulure dans ma gorge était des plus désagréable, je sentais encore les relent de tout ça, je ne voulait pas me dire que ça allait recommencer, encore et encore, c’était intolérablen et insoutenable comme idée, c'était bien trop désagréable et intenable, je soupire. Je regarde encore Rebecca dans le miroir, je ne sait pas ce qui me prend, ça doit être tout ça qui me remue mais pourtant je pourrait jurer l'avoir déjà vu, son regard me disait quelque chose, son vrai regard, celui qu'elle avait eu un instant, inquiet, pas le regard froid qu'elle me jetait au début, elle me paraissait enfin humaine et bien moins antipathique, même si je ne pourrait pas jurer m'en faire une amie, elle ne semblait de toute manière ne pas le vouloir.

Je veut dormir, me coucher sur mon lit et ne plus penser à rien, fermer les yeux et hurler, encore et encore pour passer tout ça, je veut dormir et me réveiller demain comme si ça n'avait pas exister, ma veut ne peut pas virer ainsi à la torture, ce n'est pas possible, c'est trop injuste, je refuse, je ne veut pas de cet enfant, je me sent trop mal pour être mère, pas maintenant, nan vraiment pas maintenant, tout mais pas ça, je ne veut pas d'un enfant mais je ne veut pas m'en debarasser non plus, je ne sait que faire et je ne sais pas à qui en parler, je n'ai personne, je veut de l'aide mais je n'en ai pas, alors je soupire et essaye de calmer le frisson.

Elle me propose de me raccompagner, je sent qu'elle insisteras de toute façon alors je ne prend même pas la peine de protester, je fait un signe de tête las pour accepter et je commence à marcher, je la suit en fait. Elle prend mon bras, là par contre je frisonne de plus belle, les contacts c'est vraiment pas mon truc, ceux des hommes surtout mais ceux des gens que je ne connait pas aussi, je n'ai jamais sut et je croit bien que je ne saurait jamais d'où ça me vient, c'est ancré en moi, ça en fait partit, tout comme la peur du noir et mes cauchemar, ça ne partiras jamais vraiment, malgré tout l'amour qu'on peut me porter, même Alex n'y est pas parvenu alors je doute que ça change, même auprès de Nate je me sent un peu vulnérable.

Elle me lâche, on rejoint nos logements en silence, elle reste près de moi, comme si j'allait fondre ou plutôt tomber encore, je soupire, elle est bien trop apeuré, je ne suis tout de même pas en sucre, je vais mieux, je croit que j'ai besoin de me le répéter. Une fois devant ma porte je souffle, je l'ouvre et la regarde:
- "Je suis désolé, si vous voulez j'appelle Tobias pour qu'il finisse la visite."
je soupire, je n'ai plus la force de faire la visite, je pense qu'elle vas comprendre, je l’espère, là tout ce que je veut c'est pleurer, me laisser tomber le long de mon mur et rester des heures entières à sangloter.