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With Douglas

C'était un beau jour de printemps. En ce joli mois de septembre l'air était doux malgré la petite bise froide du vent.
Aïsha avait fini sa journée de boulot, et s'apprêtait à profiter de son entier âpre midi de libre. Les enfants l'avaient épuisé. Comment dès le matin pouvaient-ils être si énergétiques ? Son nouvel emploi n'était pas de tout repos. Elle se fatigué vite à courir derrière les garnements, d'ailleurs elle avait arrêté. Oui pour cause de son origine, Aïsha est malade régulièrement, voir chaque jours. Sa peau café virée vers le blanc.

De chez ses parents elle avait entendu plusieurs infos sur un journaliste impétueux. Elle avait tout de suite tendu l'oreille. A y réfléchir il pourrait avoir des infos sur elle et son origine ou alors il suffirait qu'elle lui mette la puce a l'oreille et il parviendrait surement à avoir de info.
Hier elle avait demandé aux habitants du petit village pour savoir où habitait cet homme. Ceux ci l'avait regardé de travers pour la plupart lui avait pas répondu, mais la jeune malgache avait réussi à le savoir. "Une vieille baraque en mauvaise état prés de la plage". Le lendemain, décidée elle s'y dirigea âpres s'être parée d'un jean noir et d'un t-shirt coloré qui s'opposait avec ses cheveux noir charbon.

Une fois arrivée en vu du sable elle vit en effet une maison mal en point seule sur la rive. Aïsha s'y dirigea puis donna trois petits coups sur la porte.
Elle attendit que l'homme lui ouvre en souriant.

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With Douglas

Aïsha dû patienter plusieurs minutes. Elle se tourna face au vent et regarda la mer en patientant. Elle aime le vent Aïsha. Même un gros vent d'hivers chargé de pluie, elle l'aime de toute la manière qu'il soit. Que ce soit en été, en automne, en hivers ou bien au printemps. Elle pourrait être la femme du vent.
La jeune femme se sentait libre dans ce vent. Cette force de la nature la fascinait. Pouvant être si douce et si violente, si bienfaitrice ainsi que dévastatrice. Elle est invincible face aux autres éléments.
Le vent est incontrôlable, il vous passe entre les mains sans que vous ayez pu  en attraper un soupçon. Ce vent qui vous caresse le visage lorsque vous êtes triste.
Aïsha voulait être comme ce vent. Libre. De tout, de la société, des hommes, des femmes, de tout. Mais cela n'était pas possible pour un être humain. Encore moins d'elle. Elle avait cette chaîne attaché a ses pieds; si elle ose aller plus loin que ses limites, elle le sait mieux que quiconque, elle mourait. Rongé par la maladie, par sa faiblesse.
Par contre, elle pouvait ressembler au vent pour une chose, sa détermination. Si le vent renversait tout ce qui ce trouve sur son passage, alors Aïsha pouvait le faire; quitte a s'aider de personnes inconnues.

C'est avec cette idées en tête qu'elle se tourna vers la porte et qu'elle toqua une nouvelle fois. Un homme lui ouvrit. Lorsqu'il lui parla, elle lui sourit cherchant ses mots.
"Bonjours. Si je suis là c'est que j'ai entendu parler de vous. "
Elle le regardait un grand sourire collé a ses lèvres rouges
"Pour être honnête, j'admire vos compétence de journaliste. J'aimerais collaborer avec vous si vous m'acceptez. Je travaille a l'orphelinat, donc je ne vous demande pas d’être mon parton."
La jeune femme lui sourit à nouveau.