Groupe : Ruban rouge


Origine : Galloise


Avatar : Asa Butterfield


Autre : Serait-il possible que mon premier RP soit celui de mon admission ?


Description physique : On m'a déjà dit que j'étais particulièrement pâle. Bien que je sois à la premier à dire que ce soit le signe d'origine particulièrement claire et pure, cela pourrait aussi s'expliquer, en partie, par le fait que j'évite de me promener au Soleil. Mes yeux azurs fuient l'azur du ciel, trop étincelant, à mon avis ; je préfère l'ombre de mes cheveux noirs. Plutôt svelte, je ne pense pas être maigre, je ne cherche pas pour autant à devenir une montagne de muscle. En toute franchise, en général, mon apparence m'indiffère assez, à partir du moment où je suis habillé de manière décente et agréable.


Caractère et capacités : Je ne pense pas être particulièrement vaniteux, ce qui est l'apanage des pauvres et des imbéciles, mais, certes, oui, je conserve néanmoins l'orgueil qui est dû à un noble tel que moi. Je suis d'accord sur le fait de dire que les autres pauvres sont en général mauvais, bien qu'il ne fasse pas non plus en faire une généralité ; Platon l'écrivait, il peut parfois arriver qu'un homme forgé d'argent ou d'or jaillisse de ceux de fer, tout comme l’inverse est aussi possible. Comment justifier autrement la décadence de certains autres lords de notre époque ? Je suis quelqu'un de mesuré même si mes attentes sont hautes.
Je sais faire la part des choses, aussi bien que je n'éprouve strictement aucun intérêt à mentir, si les conjonctures sont sérieuses et que le besoin s'en fait sentir, alors j'en serais capable et ce sans faillir le moins du monde, en regardant autrui dans les yeux. Si la tromperie fait partie des caractères que je n'aime pas, l'inconséquence, en elle-même, y a une bien plus grande part.


Histoire : Je suis né de la famille Pritchard, une riche et influente famille du Royaume-Unis. Lord Hopcyn, mon père, et Lady Laura de Lusignan, ma mère, étaient de grands propriétaires terriens et possédaient aussi quelques industries qui, quoique relativement modeste en rapport avec certaines grandes usines, suffisait à assurer notre tranquillité financière. Mon éducation a toujours été très stricte, mes parents adeptes d'un système rigide et démodé insistèrent sur le fait de na pas me gâter par des présents trop somptueux et un amour trop étouffant, ainsi je pouvais me consacrer pleinement et totalement à mes études auxquelles j'excellais. J'avais pour moi quelques professeurs particuliers qui n'assuraient que mon servir afin d'assouvir à bien mon immense soif de savoir. En effet, il paraissait insensé à mes parents de m'envoyer dans une éducation publique où se mêlaient des relents de communisme et de folie révolutionnaire, pas plus que dans une éducation privée, peuplées en grande part de nouveaux riches orgueilleux et sans aucune mesure. Telles furent ainsi les raisons de ce choix convenable. Il n'y avait aucun intérêt à vouloir m'exposer outre que nécessaire. Durant ces nombreuses années, j'appris pas moins de dix-huit langues dont cinq anciennes et de nombreuses autres connaissances utiles à quiconque voudrait aspirer à quelconque élite.

Nonobstant les complexité qu'amène le temps présent, cela aurait pu et aurait dû continuer longtemps dans le but de parfaire ma nature, de polir mon esprit. Malheureusement, l'incompétence notable des nouveaux capitalistes actuels fut de trop. Un défaut non-détecté dans l'une de leurs voitures projeta directement mes nobles parents dans l'au-delà et les conséquences en furent désastreuses. Ce fut, en effet, le signal qu'attendait tous mes proches parents pour se jeter sur l’héritage. À leur plus grand infortune, cependant, j'étais encore en vie, vie dressé entre eux et nos possessions. Ils refusèrent tous de m'accueillir, me laissant dans un embarras sans nom ; à cause de mon âge, je ne pouvais pas demeurer sans tuteurs. Finalement, il semblât qu'ils finissent par parvenir à un accord dont j'ignore les closes. On m'annonça bientôt mon placement en internat, loin de mes richesses et de mon domaine, parmi la plèbe bourgeoise. Misère. Il ne me reste plus qu'un espoir : Survivre, pour leur faire regretter cet acte abominable.


Et enfin :


Si vous êtes nouveau/elle, comment avez-vous trouvé ce forum ? Un top-site
 
Et qu'en pensez-vous ? Je dois avouer que je suis d'avantage habituée à avoir des images afin d'expliciter la description des lieux, mais le petit nombre de ceux-ci sur ce forum compense.
Sinon, qu'est-ce que vous avez voulu inscrire sur le QEEL ? Chr_ôé Batard ? Ça n'a aucune sens, en plus le trait entre le rô et le omégama avec accent n'est même pas grec. *ne comprends pas.* >.<