Forum RPG. 2017. Détenteur d'un pouvoir ou simple humain ? Vous avez tout deux votre place ici, mais prenez garde, le secret ne doit pas être révélé. Entre haine, amitié et aventure. Le secret survivra t'il ?
Sujet: Alone in the dark (With Judith) Mar 29 Juil - 16:03
Alone in the dark
feat Judith Marschall & Spencer Filds
Je parcourt la salle du regard, elle est vide ce n'est pas si étonnant, il est tard, la plupart de mes collègues sont soit dans leur appartement soit en train de manger au réfectoire, personne hormis moi n'a l'idée de bosser à cette heure. Pour ma part je n'ai pas faim et je n'ai pas non plus envie de retourner dans mon appartement, je m'y sent seule, mal à l'aise, la salle des profs me semble plus vivante, il y a quelque mots sur le tableau d'affichage, des copies qui traîne et des tasses de thé oublié un peu partout. Une pièce désorganisé, voilà qui me rappelle un peu la fac. Même si en ce moment la pièce est vide, je me sent un peut mieux ici, moins seule, entouré par les traces de tous ceux qui sont passé ici.
Mon regard se pose de nouveau sur le tas de copie qui me reste à corriger, j'ai l'impression de ne pas avancer et chaque copie me déprime un peu plus par les absurdité que j'y lit. Je me maudit, qu'elle idée pourrie j'ai eu en collant une interrogation surprise au ruban blanc, tous ça à cause de la jeune O'brien qui m'a exaspéré en discutant pendant mon cour, celle là si je la tenait. Je raye toute la copie d'un air rageur, c'est vraiment désespérant ce que les élèves peuvent vous sortir à croire que je leur parle chinois. Je recopie une nouvelle fois la bonne réponse et secoue mon épaule droite qui commence à s'engourdir.
Je souffle et abandonne de nouveau ma correction, histoire de ne pas déprimer, je regarde dehors, ça finit de m'achever, il fait nuit, déjà, il n'est même pas vingt heure et on est fin juillet, la Californie commence sérieusement à me manquer et je regrette de ne pas avoir de vacances, j’aurai peut être pût me rapprocher de mon pays, histoire de retrouver le soleil et la mer, j'ai une envie irrésistible de surfer et ici je ne pourrait pas la combler avant l'hiver qui rimeras avec soleil dans cette partie du globe. Je soupire de nouveau, la neige c'est joli mais je commence un peu à ne plus le supporter, c'est froid, ça mouille et ça colle.
Je me remet non sans soupirer à mes corrections, il faut bien que je m'y colle de toute façon. L'ampoule se met subitement à clignoter, je la regarde, elle est rallumé. De nouveau elle clignote et finit par s'éteindre, je pousse un gémissement et me précipite vers l’interrupteur, j'essaye tant bien que mal de me repérer et rallumer la lumière, mais ça ne marche pas. Je commence à trembler, peut de gens le savent mais le noir me terrorise, depuis que je suis enfant je suis terrorisé dans les pièce sombre, tout comme dans les endroits trop petit. Je me recule vers les fenêtres essayant d'apercevoir la lumière de la lune, de la fenêtre je voit que la panne semble être étendue à tous le bâtiment, inutile donc de courir vers mon appartement. Je pousse un petit cris terrorisé.
Un bruit retentit dans le couloir, je me laisse tomber sur le sol, essayant de me faire invisible, je ne sait même pas pourquoi mais j'ai peur. Je reste tapie contre le radiateur essayant de ne pas faire de bruit. J'aperçoit la porte qui s'ouvre, un grincement se fait entendre, il se peut que ce soit seulement dans mon esprit, je n'arrive pas vraiment à faire la distinction entre fiction et réalité. La silhouette qui se tient dans l'encadrement de la porte est elle en revanche bien réelle. Je frisonne de plus belle, elle ne bouge pas, ça ne fait que me stresser d'avantage, je déglutit et demande d'une petite voix peu assuré : - « Nathan c'est toi ? » Ma voix et emplit d'espoir, j’espère sincèrement que c'est lui, en ce moment il est le seul qui me rassure.
Je parcourt la salle du regard, elle est vide ce n'est pas si étonnant, il est tard, la plupart de mes collègues sont soit dans leur appartement soit en train de manger au réfectoire, personne hormis moi n'a l'idée de bosser à cette heure. Pour ma part je n'ai pas faim et je n'ai pas non plus envie de retourner dans mon appartement, je m'y sent seule, mal à l'aise, la salle des profs me semble plus vivante, il y a quelque mots sur le tableau d'affichage, des copies qui traîne et des tasses de thé oublié un peu partout. Une pièce désorganisé, voilà qui me rappelle un peu la fac. Même si en ce moment la pièce est vide, je me sent un peut mieux ici, moins seule, entouré par les traces de tous ceux qui sont passé ici.
Mon regard se pose de nouveau sur le tas de copie qui me reste à corriger, j'ai l'impression de ne pas avancer et chaque copie me déprime un peu plus par les absurdité que j'y lit. Je me maudit, qu'elle idée pourrie j'ai eu en collant une interrogation surprise au ruban blanc, tous ça à cause de la jeune O'brien qui m'a exaspéré en discutant pendant mon cour, celle là si je la tenait. Je raye toute la copie d'un air rageur, c'est vraiment désespérant ce que les élèves peuvent vous sortir à croire que je leur parle chinois. Je recopie une nouvelle fois la bonne réponse et secoue mon épaule droite qui commence à s'engourdir.
Je souffle et abandonne de nouveau ma correction, histoire de ne pas déprimer, je regarde dehors, ça finit de m'achever, il fait nuit, déjà, il n'est même pas vingt heure et on est fin juillet, la Californie commence sérieusement à me manquer et je regrette de ne pas avoir de vacances, j’aurai peut être pût me rapprocher de mon pays, histoire de retrouver le soleil et la mer, j'ai une envie irrésistible de surfer et ici je ne pourrait pas la combler avant l'hiver qui rimeras avec soleil dans cette partie du globe. Je soupire de nouveau, la neige c'est joli mais je commence un peu à ne plus le supporter, c'est froid, ça mouille et ça colle.
Je me remet non sans soupirer à mes corrections, il faut bien que je m'y colle de toute façon. L'ampoule se met subitement à clignoter, je la regarde, elle est rallumé. De nouveau elle clignote et finit par s'éteindre, je pousse un gémissement et me précipite vers l’interrupteur, j'essaye tant bien que mal de me repérer et rallumer la lumière, mais ça ne marche pas. Je commence à trembler, peut de gens le savent mais le noir me terrorise, depuis que je suis enfant je suis terrorisé dans les pièce sombre, tout comme dans les endroits trop petit. Je me recule vers les fenêtres essayant d'apercevoir la lumière de la lune, de la fenêtre je voit que la panne semble être étendue à tous le bâtiment, inutile donc de courir vers mon appartement. Je pousse un petit cris terrorisé.
Un bruit retentit dans le couloir, je me laisse tomber sur le sol, essayant de me faire invisible, je ne sait même pas pourquoi mais j'ai peur. Je reste tapie contre le radiateur essayant de ne pas faire de bruit. J'aperçoit la porte qui s'ouvre, un grincement se fait entendre, il se peut que ce soit seulement dans mon esprit, je n'arrive pas vraiment à faire la distinction entre fiction et réalité. La silhouette qui se tient dans l'encadrement de la porte est elle en revanche bien réelle. Je frisonne de plus belle, elle ne bouge pas, ça ne fait que me stresser d'avantage, je déglutit et demande d'une petite voix peu assuré : - « Nathan c'est toi ? » Ma voix et emplit d'espoir, j’espère sincèrement que c'est lui, en ce moment il est le seul qui me rassure.
Invité Invité
Sujet: Re: Alone in the dark (With Judith) Mer 30 Juil - 13:00
Alone in the Dark
En cette heure tardive du mois de Juillet, je ne savais que faire. Toutes les copies que j'avais étaient corrigées, tous mes cours étaient prêts, bref, je n'avais plus rien à faire. Il était aux alentours de vingt heure, et tous les autres professeurs, à cette heure-ci, étaient soit en train de manger, au réfectoire, soit dans leurs appartements, attablés avec leur famille. Je décidais alors d'aller manger, même si je n'avais pas tellement faim. Je me dirigea lentement vers la porte du grand bâtiment duquel se dégageait une délicieuse odeur de nourriture.
Les élèves avaient déjà dîner, ils passaient, sur deux services, à partir de 19h, c'est pourquoi il n'y avait plus que des professeur dans le réfectoire, ce qui, je dois l'avouer, était plutôt agréable. Ce soir, au menu, nous avions des frites, de la salade, ainsi que de la bonne viande, en sauce. C'était vraiment délicieux. Je crois, d'ailleurs, que c'était l'avis de tous les professeurs qui mangeaient ici, et ils étaient nombreux.
Lorsque j'eus finit de dîner, je ne savais plus quoi faire. Je me baladais dans les couloirs, puis, soudain, il y eût une coupure de courant. Zut alors. Je me trouvais, alors juste devant la salle des professeurs. J'entendis du bruit. Que se passait-il ? Il devait y avoir quelqu'un ! Je regarda plus attentivement. Je vit une professeure que je connaissais plutôt bien, Spencer, Spencer Filds. Elle était couchée par terre. Mais que faisait elle ? Peut-être chercher t-elle quelque chose. Soudain, elle me demanda quelque chose :
" - « Nathan, c'est toi ? »"
Nathan, c'était un professeur de français je crois. Mais ce n'était pas moi ! Je lui répondit :
"Non, ce n'est pas Nathan, c'est Judith, la professeure d'Arts plastiques."
La lumière revint soudainement, certainement que quelqu'un était allé arranger le petit problème.
Sujet: Re: Alone in the dark (With Judith) Mer 30 Juil - 15:23
Alone in the dark
feat Judith Marschall & Spencer Filds
La silhouette se rapproche de moi, à présent je la distingue suffisamment bien pour comprendre que ce n'est pas Nathan, c'est une silhouette féminine qui se dirige vers moi, l'espoir de retrouver un peu de réconfort auprès du jeune prof de littérature s'envole, m’enfonçant un peu plus dans ma panique, ma peau commence à trembler et je me met à frissonner. Je me fait encore plus petite espérant que la personne ne m'a pas vue, même si je sais que c'est inutile, j'ai crié et parlé, à moins que cette personne soit idiote, ce dont je doute, elle sait que je suis là. Je me recroqueville sur moi même.
Une voix résonne, répondant à ma question apeuré et confirmant mes pensés, ce n'est pas Nate, elle se présente comme étant la professeur d'Art Plastique, je reconnaît brusquement son visage, je l'ai croisé quelque fois mais je n'ai jamais prit le temps de discuter avec elle, je n'ai pas beaucoup discuté avec mes collègues en réalité, je suis devenue plutôt renfermé, rien à voir avec ma véritable personnalité. Elle me donne son nom, Judith, il me semble qu'elle me l'a déjà dit. Les lumière se rallume me permettant de voir sa tête surprise devant ma position.
Je soupire, je doit vraiment avoir l'air bête, accroupie sur le sol, les cheveux en bataille les yeux exorbité encore rouge des larmes de peur qui ont coulés. L'image que j'imagine dans ma tête n'est vraiment pas flatteuse, je doit ressembler à une folle. Quand je pense à mon visage, je ne peut qu'être soulagé, je n'ai plus à me soucier de mon maquillage, les bleus qui déformait mon visage ont enfin disparut, je ne passe plus une heure à les cacher, il ne m'en reste plus que quelque un sur mes bras et l'énorme sur ma poitrine, souvenir de la ceinture de sécurité.
Je me relève doucement un air gêné figé sur le visage essayant de rester digne, je tremble encore et doit me cramponner à la table pour ne pas tomber. Je sourit à la prof : - « Oh bonsoir Mademoiselle Marschall, dessolé j'ai crût que ... » Je ne finit pas ma phrase, les lumières se remettent à clignoter, m'arrachant un nouveau cris de terreur, pitoyable. Les lumières restent allumer, je soupire, et voilà, tu passe de nouveau pour une personne étrange.
Je la regarde de nouveau, me mordille la lèvre inférieur hésitante, je ne sait pas quoi lui dire. Les lumières clignotent encore, s'éteignant pour de bon, j'ai l'impression que ce n'est pas le hasard, que quelqu'un s'amuse à jouer avec les lumières et avec mes nerfs par la même occasion. Je ne peut m’empêcher de hurler de plus belle, et je m'accroche à celle qui me fait face, je serre son bras assez fort, trop sûrement.
JLes lumières se rallument, je la lâche immédiatement, un air gêné fixé sur le visage. - « Je suis dessolé, je ne sait pas ce qui m'a prit ! J’espère que je ne vous ait pas fait mal. » Je regarde son bras, il est un peu rouge à l'endroit ou j'ai serré, ce n'a pas été long mais j'ai oublié que j'ai pas mal de force, il est vrai que j'ai quelque année de boxe derrière moi et malgré ma finesse et ma petite taille je suis assez forte, assez en tout cas pour laisser d'affreuse marque rouge sur la peau de ma collègue.
Sujet: Re: Alone in the dark (With Judith) Lun 4 Aoû - 19:05
La lumière daigne enfin se rallumer ! Je découvre le corps de la jeune femme, accroupie au sol, les yeux rouges, une larme le long de la joue. Elle était effrayée. Pourquoi avait-elle autant peur du noir, c'était assez étrange. Ses cheveux étaient en bataille. Elle semblait croire que j'étais un certains Nathan, mais elle s'était vite rendue compte que je n'étais pas celui qu'elle croyait.
Je m'approcha d'elle. Doucement, pour ne pas l'effrayer. Je m'accroupis a ses cotés. Soudain, la lumière disparue une nouvelle fois. Elle agrippa mon bras. Elle avait vraiment peur !! Que devais-je faire ? JE voulais la rassurer, mais comment ? Je ne le pouvais point. Lorsque la lumière se ralluma la jeune femme s'excusa de suite de ce qu'elle venait de me faire subir !
A vrai dire, je n'avais pas grand chose, juste quelques traces rouges, mais c'était mieux qu'elle s'en excuse ! Elle me dit :
Elle ne finit pas sa phrase. C'est une chose qui, je dois l'avouer, m'étonna beaucoup ! Je voulais vraiment savoir la réponse, même si je pensais déjà la connaître. La lumière ne cessait d'apparaître et de disparaître. C'était sans doute quelqu'un (un petit malin) qui jouait avec. Je proposa à la jeune femme de la laisser quelques secondes, afin d'aller interrompre ceci. Elle eût une réaction qui me surpris beaucoup.
HRPG:
Désolée mais j'avais pas beaucoup d'inspi ...
Invité Invité
Sujet: Re: Alone in the dark (With Judith) Ven 15 Aoû - 9:39
Alone in the dark
feat Judith Marschall & Spencer Filds
Les lumières clignotent encore avant de rester allumer un peu, suffisamment longtemps pour me permettre de contempler la jeune femme, elle à l'air intrigué par mes réactions. Je ne peut m’empêcher de rougir, devant combien de personne vas tu encore t'afficher de la sorte Pen ? Songeai-je. Elle ne dit rien cependant, sûrement par pure gentillesse ou bien car elle ne sait pas quoi dire. Je la contemple, elle à l'air douce, sympathique, attentive, sa réaction confirme mes impressions, un bon nombre de mes connaissances américaines aurait continuer leur chemin sans rien faire.
Les lumières se remettent à clignoter, je me retient de hurler. Cette peur du noir est des plus insensé, j'en ai conscience mais je n'arrive pas a me contrôler, c'est là depuis toujours et ça ne me quitteras sûrement jamais. J'aimerais tellement me débarrasser de ça, pouvoir me comporter comme une personne normale, ne pas être obligé de dormir avec une veilleuse, ne pas paniqué quand je doit traverser le campus la nuit, pas hurler à cause d'un bruit, avant de reconnaître une garçon, Alex, c'est comme ça qu'on s'est rencontré, il m'a vu telle que j’étais, il m'a aimé pour ça.
Toutes mes pensées ne vont pas uniquement vers cette nuit là, un autre jeune homme m'a vus telle que j’étais une nuit, Nathan, il a vu mon corps, les blessures, il m'a entendu crier. Oui Nathan aussi sait a quel point je suis vulnérable et même si je me suis forgé une carapace je ne suis pas aussi forte que je veut le faire croire. Oui ce n'est pas Alexeï que j'ai pensé quand les lumières ont commencé à beugé, j'ai réclamé l'aide et le réconfort d'un autre, l'aide de Nathan et ce sans remord, comme si je commençait a accepter la mort d'Alex.
De nouveau les lumières s'éteignent mettant mes nerfs à vifs, j'ai envie de hurler de plus belles, je ne veut pas faire fuir la jeune femme, déjà qu'elle ne semble pas m'en vouloir pour son bras, je n'ai pas envie d'abuser. Elle me propose d'aller identifier le problème et de le régler mais si elle fait ça alors ça signifie que je reste là, seule. Je réagit sans réfléchir et balbutie : - « Nan pitié restez là ! Je ne supporte pas le noir ! » Je frissonne, l'idée d'être de nouveau seule m'est insupportable, intenable, j'ai vraiment peur, plus personne n'est là pour me protéger de cette menace invisible, inconnue, je ne sait même pas ce que je fuit mais je le fuit.
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