Origine : Japonaise.


Métier : Elle n'a pas de métiers, elle exerce juste sa passion.


Avatar : Airi Suzuki


Autre : Daiya a un haut niveau en chant et en dessin.



Description physique : Elle possède de longs cheveux noirs, magnifiques qu'elle entretient très bien. Elle y tient tellement qu'il ne serait pas envisageable d'y toucher pour leur changer de couleur. Ses yeux bridés sont de couleur marron, marron foncé, changeant de teinte selon la luminosité. Sa chevelure aussi, a des reflets châtain selon son exposition au soleil. Et que dire de son sourire qu'elle garde à chaque instants ? D'après ce que certains disent, il ne s'efface jamais. Il est d'après certains magnifique, on ne se lasse jamais de le regarder, il fait si plaisir à voir !
Au niveau des vêtements, presque tout lui convient, elle se fiche d'avoir un style que les gens aiment ou non, elle a le sien, et il n'est pas prêt de changer. Elle ne déteste aucune couleur, il suffit de lui trouver un vêtement qui la met en valeur, rien de plus. Son apparence n'a a ses yeux aucune importance, il n'y a d'exceptionnel que ce qui est a l'intérieur.

Caractère et capacités : Douce et attentionnée, Daiya fais attention au moindre petit détail. Elle ne laisse jamais les gens qui ont besoin d'aide. Daiya est une boule d'énergie qui sait se contenir, ce qui peut parfois la faire paraître calme. Elle est passionnée par la musique, le chant et l'art, elle veut plus tard en faire son métier. Elle voit plus loin qu'un avenir ici, dans cet Orphelinat. Elle veut faire carrière dans l'art, et que sa voix serve à quelque chose. Malgré qu'elle soit douce, Daiya est franche et têtue. Elle veut faire ce qu'elle veut, mais a un minimum de retenue, quand même. Elle aime que tout soit rangé, organisé. Elle ne veut que rien ne traîne, même pas ses dessins. Bien sûr, elle ne vous criera pas dessus si vous foutez en l'air ce magnifique rangement et cette organisation, mais elle s'empressera de tout ranger.
On dit que sa patience n'a aucunes limites, mais ne croyez pas à tout ce que l'on dit. Certes, elle est très patiente mais tout de même. Daiya, malgré son âge, croit toujours au prince charmant, elle sait qu'il viendra. Elle ne prévoit pas son avenir, il vient assez vite. Elle y songe juste certaine fois, mais n'a encore rien prévu. Elle veut certes construire une famille -de quatre enfants si possible, c'est l'un de ses rêves depuis qu'elle est gamine- mais ne prévoit rien, comme dit plus tôt. Elle ne sait toujours pas si elle retournera un jour dans son pays, elle y a peu vécu.


Histoire :  Daiya est née un beau jour d'été, dans la capitale du Japon. Même si ce ne fut pas une enfant désirée, elle fit le bonheur de ses parents. En revanche, Daiya n'était pas arrivée seule, elle était accompagnée d'une magnifique jumelle nommée Junko. Daiya a d'ailleurs le prénom de sa moitié pour son second, c'est la même chose pour Junko.

Les deux s'entendaient parfaitement bien, elles ne se séparaient jamais. Mais malgré tout, elles n'étaient pas passionnés du tout par la même chose que l'autre. Daiya n'a pas grandit dans une famille trop aisée, mais ni trop pauvre. Elle avait ce qui lui suffisait, plein d'amour et à manger, des vêtements et des cahiers. Daiya n'a pas connu sa sœur assez longtemps, a leur dix ans, Junko disparu de sa vie. Elle était apparement morte dans un grave accident de voiture. La brune ne le supporta pas, pendant longtemps elle n'alla plus à l'école, passant ses journées à pleurer, et à regarder des photos. Sa moitié s'était envolée, si soudainement, Daiya voulait lui dire au revoir. Elle croyait en son retour. Elle pensa alors qu'elle devait à son tour mourir, mais attendre que la mort ai décidé de venir la chercher, comme elle l'avait fait pour sa jumelle.

C'était un jour comme les autres, où Daiya fourrait encore son nez dans les affaires de sa sœur. Elles n'avaient toujours pas disparues. Elle avait besoin de les garder, de garder une trace de sa sœur ayant disparu bien trop tôt. Elle ressortait de vieux jouets, datant de maintenant un an. Elle les ressortait mais ne jouait pas avec. Ils étaient bien trop fragiles. Ils contenaient quelque part, l'âme de Junko. Daiya y faisait attention comme à la prunelle de ses yeux. Elle les alignas alors, les regardant. Touts ces souvenirs qui remontaient, qu'elle ne voulait jamais oublier. Elle soupira, les larmes montaient elles aussi. C'est alors qu'elle entendit des bruits de pas. Son père. Elle tourna la tête, lui souriant faussement. C'était la première fois que son sourire sonnait aussi faux. Il s'approcha, lui souriant en retour.

-Ecoutes, Daiya, chérie. Il faut se débarrasser de tout ça, tourner la page. Je sais que ça ne te plaît pas, mais ta mère et moi ne pouvons continuer a te voir dans cet état.

Son cœur se fendit un nouvelle fois. Non, elle ne voulait pas. Elle regarda son père ranger les jouets dans la caisse métaliques, ne retenant plus ses larmes. Il lui prenait tout ce qu'il lui restait Junko. Elle le regarda partir, n'ayant la force de le retenir. Elle ne pouvait plus, elle ne voulait plus. Malgré touts ses efforts pour redevenir heureuse, rien ne marchait. Sa vie était vide, un trou noir. Elle se précipita a la porte d'entrée de l'appartement, voyant son père partir. Un dernier adieu en silence a Junko, s'en était finit. Sa mère vint la prendre dans ses bras, tentant de la calmer. Trop de temps qu'elle n'avait pas craqué. Un sentiment de colère se mêlait à la tristesse. Elle la repoussa, regardant la voiture partir à la fenêtre. Elle attendit que la forme ait totalement disparu de son champ de vision pour s'enfermer.


Un nouveau jour, comme il y en avait eu tant depuis cette nouvelle vie. Un jour de cours, comme les autres. Sur le chemin de l'école, Daiya avait le sourire aux lèvres, ne montrant rien de tout ce qu'il se passait de l'autre côté des grilles. Aucun de ses camarades ne pouvaient supporter le fait qu'elle soit de nouveau heureuse, qu'elle ait ce magnifique sourire collé aux lèvres. Alors, bêtes comme ils étaient ils se vengeaient en se moquant de son apparence, de ses origines, de sa famille. La brune se taisait, ne se défendait point. Pourquoi ? Pour le simple fait qu'elle avait été menacée plusieurs fois. Si elle se plaignait il lui feraient la peau, elle et sa famille. Ils employaient tous ce terme "Tu sais, comme ta sœur, toi qui voulait tant la rejoindre !". Alors Daiya se pliait a leurs envies, leur désirs. Jusqu'à ce jour.

Elle passa le portail sans aucune embûche. Mais plus loin, là ou personne ne la voyait, un garçon l'attendait. Elle lui fit un fin sourire, ne se doutant pas de ses intentions. Elle passa, tout près de lui, ne lui adressant pas la parole. L'heure d'aller dans la cours était arrivée. Elle marcha jusqu'à s'y retrouver. Ce fut la routine qui l'attendait. Les rires, les regards braqués sur elle, les commentaires de ses camarades. Elle partit seule, comme toujours. Elle s'assit sur un banc, et vit le garçon d'un peu plus tôt s'approcher. Ils se parlèrent, en quelques minutes elle apprit son nom, sn âge sa classe et son adresse. Il avait l'air différent des autres. Elle discutait avec lui. Elle ne l'avait jamais remarqué, il était dans la même classe qu'elle, depuis peu. La sonnerie retentit alors.

Le cours de sport. Les élèves se rangèrent, formant un rang de moutons s'éparpillant peu à peu. Ils la bousculaient, rien d'anormal. Elle regardait le sol, restant a côté du prof, se sentant presque en sécurité proche de lui. Le cours se déroula, elle fut rejetée, mais cette fois ci même par ses propres amies qui avaient décidé de se rallier avec les autres. Elle passa son cours seule, faisant les exercices seule. Que lui reprochait-on ? D'être différente ? De ne pas penser pareil, de ne pas être d'accord, de ne pas vouloir les même choses. D'aimer différemment. Elle attendit que toutes les filles soient sorties pour se changer, dans les vestiaires. C'est alors que le garçon avec qui elle avait fait connaissance et deux autres surgirent. Ils n'avaient rien à faire là. Elle n'avait pas encore mis son haut. Elle se sentit soudainement trahit, piégée. L'un d'eux s'approcha lentement, lui laissant le temps de se rhabiller en vitesse.  Il posa sa main sur son épaule, l'obligeant à se tourner vers lui. Elle n'avait seulement treize ans. Un fin sourire presque satisfait se dessina sur les lèvres du garçon, appellons le Damien. Il fit signe aux deux autres de s'approcher, faisant reculer la jeune fille jusqu'aux murs. Elle se laissa glisser contre un mur, finissant assise au sol, recroquevillée sur elle-même. Elle se mit a pleurer, faisant sourire les garçons. C'est en sentant leur main se plaquer contre elle que son cœur se déchira. Pour la dernière fois, elle avait l'impression que c'était la fin. Les autres devaient déjà être partis. Cependant un cri retentit. Le professeur les appellait. Ils arrivèrent en vitesse, jetant un regard noir à Daiya en refermant la porte. Elle se leva, titubant et saisit sac. Elle sortit, séchant ses chaudes larmes. Personne n'en saurait jamais rien, jamais. Elle allait encore une fois se taire.


Elle avait quatorze ans, pas une année de plus, pas une de moins. Elle passait la soirée seule, devant la télé avec des pizzas pour manger.

Elle était allongée sur le canapé du salon, mangeant, foutant de miettes partout. Ses parents étaient sortis pour la soirée, invités chez des amis. Elle repensait alors a l'événement qui l'avait tant marqué l'année précédente. Ils n'avaient eu le temps que de la toucher, mais c'était déjà trop pour elle. Les larmes montèrent, c'était bien le seul souvenir qui ne s'estompait pas à mesure que le temps passait. Elle partit s'enfermer dans les toilettes, pleurant en silence. Son sourire de tout les jours, elle le gardait simplement en pensant que ses problèmes n'étaient pas importants. Les autres avaient grandis mais n'avaient pas changés, toujours aussi bêtes. Elle voulait fuir Tokyo.

Ce fut vers vingt et une heure que l'on toqua à la porte. Elle n'ouvrit pas, n'ayant pas le droit. Daiya écoutait à la porte, elle ne reconnaissait pas la voix de son père, elle était bien moins grave. C'est alors qu'on lui demanda d'ouvrir la porte, la "police". Elle ouvrit lentement, devenue méfiante avec le temps. C'était bien un officier. Elle lui ouvrit grand la porte, affichant un tout aussi grand sourire. "Vous voulez ?". Ce fut ce qu'elle lui dit, simplement. Mais lui, lui il lui annonça quelque chose d'horrible. Il venait pour une mauvaise nouvelle. Elles fusaient en ce moment. Le décés de ses parents, tout deux morts dans un accident de voiture, comme sa sœur. Elle resta bouche bée un instant, ne sachant pas quoi dire, que faire. Elle pleura toutes les larmes de son corps, hurlant, demandant pourquoi. Elle était inconsolable. Elle allait être dirigée dans un Orphelinat, loin de Tokyo, très loin. Quelques jours plus tard, ce fut chose faite.Daiya peina à retrouver le sourire, mais il revint. C'est à présent la vraie Daiya que l'on peut apercevoir.

Et enfin :


Si vous êtes nouveau/elle, comment avez-vous trouvé ce forum ? : Ahahahahahahahahahaha DC.

Et qu'en pensez-vous ? : IL EST GENIAL *^*

Re-bienvenue ma puce
Hâte de te valider **

Présentation enfin fini ! Désolée si vous n'avez pas envie de lire l'histoire, j'étais obligée de raconter certains passages de sa vie, importants >w< Du coup ça prend de la place, et merci Marly ♥ (Et dire que j'ai fait ça en une heure *^*)

Je crois que c'est réellement terminé. J'ai pu zapper des détails en modifiant n'hésitez pas a me prévenir si ça ne colle plus >w<

Bon cette fois tout me semble parfait alors je te valide avec joie!

N'oublie pas d'aller réserver ton vava et ton prénom/nom histoire d'être unique!