Voilà aujourd'hui envie de vous faire partager le prologue de ce fameux roman
Voui les nom sont reconnaisable ^^
3 mai 2101, vers 6 heures du matin, sur une petite route de Finlande :
Assise aux cotés de son collègue roulant à toutes vitesses, Emma, policière de son état pestait intérieurement, pourquoi diable l’avait t'ont réveillé un dimanche matin à six heures sonnantes ? Son supérieur lui avait prétexté un accident de la route qui nécessitait soi disant son intervention de toutes urgences. Mais voilà, cela faisait plus d’une heure qu’ils roulaient en pleine cambrousse à la recherche de ce soit disant accident et la jeune femme commençait à s'impatienter.
Enfin son coéquipier ralentit. Au bord de la route se tenait le premier policier qui s’était rendu sur place, il leur fessait de grand signe de bras pour qu'ils arrêtent la voiture. Les deux coéquipier descendirent de la voiture et allèrent à la rencontre de leur collègue planté là en train de bailler à s’en décrocher les mâchoires. Emma le regarda et le questionna silencieusement. Le rouquin déclara :
-« Il y a une voiture plus bas, un arbre de plein fouet aucune chance. Le conducteur a sûrement perdu le contrôle du véhicule pour une raison inconnu.
- Et il y a combien de victime?
- Deux, un homme et une femme ! On sait pas trop comment c'est arrivé alors on aimerait que tu... Enfin tu vois quoi?
- Oui, oui, je vois! »
Tous en parlant les trois policiers se rapprochait du lieu de l’accident. Ils passèrent sous les rubans jaunes et s’approchèrent du véhicule. Un cri retentit soudainement brisant le silence. Les deux hommes s’arrêtèrent net la jeune femme se retourna vers son collège :
-« Ça viens de la voiture ! T’es sure que il y avait que deux personne ? » L'homme lâcha un petit oui paniquer. Emma soupira et se rapprocha du véhicule le cri redoubla, elle força la portière celle ci céda au bout de quelque minutes de lutte. Dans la voiture un bébé hurlait! La policière se retourna vers ses camarades en leur lançant un regard noir :
-« Mais venez m’aider vous voyer bien qu’il y a un bébé là-dedans ! »
Elle décrocha le bébé du siège auto et le prit dans ses bras.
La fillette,contenue de ses vêtements,tenait une enveloppe dans l’une de ses petites mains et une peluche en forme de poneys de couleur violette dans l’autre. La petite lui sourit et se mit à gazouiller. Un nouveau cri sortit de la voiture et Emma se rendit compte qu’il y avait un autre enfant en bas-âge dans la voiture. La jeune femme confia l'enfant à son collègue puis saisit l’autre bambin pour la sortir de la voiture, elle aussi tenait une enveloppe et un poney,vert, lui. La policière s’écarta de la voiture le bébé dans les bras de son confrère se mit à hurler de nouveau, la jeune femme la reprit dans ses bras en hurlant a ses collègues d'aller voir si l’ambulance arrivait bientôt. L’un d’eux eu enfin une idée intelligente il alla chercher une couverture dans le coffre de leur voiture et l’étendu sur le sol, Emma y déposa les deux petites. Les deux enfants était les mêmes, des jumelles.
Elle prit délicatement l’enveloppe de la jumelle au poney violet et la regarda sur le dos était écrit une date de l’année passée et à l'avant le même jour dans douze ans précédé des mots:
- « Pour Cassiopée le jour de ses treize ans! »
Emma consulta son portable. Mince alors la date qui figurait sur le devant de cette enveloppe était précisément celle d’aujourd’hui, du moins le jour et le mois, c’était donc l’anniversaire de cette pauvre enfant. La policière prit ensuite l’enveloppe de l’autre fillette, sur celle-ci était inscrite le nom de « Calysa » la date inscrite sur l’enveloppe était la même. Elle était tenté d'ouvrir les enveloppes mais de toute façon celles-ci étaient bloqué par un système électronique qui empêchait de les ouvrir avant la date inscrite au dos. Cassiopée la regarda, lui sourit de nouveau et tendit ses bras en balbutiant pour que la jeune femme la prenne dans ses bras.Cette dernière ne résista pas et attrapa la petite celle-ci se blottit dans ses bras.
Emma la reposa sur la couverture pour aller prés de la voiture. Elle repassa sous les ruban jaune et noir, soupira puis toucha la taule froissée, le contact du métal froid lui envoya un électrochoc et elle vit dans un flash les derniers instants des occupant de la voiture. La policière entendit alors une sirène et l’un de ses collègue lui fit de grand signe. Elle se précipita vers la couverture et attrapa une des fillettes tout doucement. Son autre camarade qui était resté près de la couverture attrapa la deuxième petites un peu trop violemment et celle-ci se mit à hurler. La jeune femme pouffa et fit à son compagnon :
-« Décidément tu n’es pas très doué avec les enfants toi ! »
Celui-ci pouffa et berça l'enfant pour arrêter ses pleurs.
Ils remontèrent tous les deux vers la route où se trouvait l’ambulance et se rapprochèrent ensemble de l’ambulancière celle-ci prit Cassiopée et la posa sur le brancard. Elle l’examina puis fit de même avec Calysa. Les deux petites restèrent bien gentiment assise sur le brancard pendant l’examen puis s’endormirent toutes deux entrelacé. La policière les contempla si elle n’avait pas leur doudous respectif il aurait été impossible de les différencier. La secouriste les contempla elle aussi. Elle sourit puis se tourna vers les forces de l'ordre : -« Elles n’ont absolument rien pas la moindre petite égratignure ! C’est tous de même bizarre ! Êtes-vous sure qu’elle était dans la voiture pendant l’accident? »
La jeune femme savait très bien que tel n’était sûrement pas le cas, elle l'avait vus mais elle sentait que ce détail devait rester confidentiel. Emma répondit : - « Ben oui vous croyez crois ? Que nous autres les policiers on s’ennuie tellement les week-end qu’on simule des accidents pour s’occuper ? Mon minizi c'est de voir la mort des gens, j'ai vu les dernier instant de leur parents, elles étaient là! » L’ambulancière acquiesça et lança d'un air dédaigneux :
- « C'est donc pour cela que vous êtes policière! Moi avec mon minizi de contrôle de deux plantes il était dans l'ordre des choses que je devienne infirmière!
- Je ne vois pas absolument ce que vous voulez dire! Certes mon collège ici présent possède le minizi de l'avenir et mon chef celui du passé mais d'autre sont policier et ont le minizi de la pluie , de l'orage et même que le troisième policier présent ici a le minizi des éléphant alors votre petit principe sur les minizis et les métier je le trouve ridicule! »
L'infirmière la foudroya du regard, lui fourra les petites dans les bras et lui apprit que ses collègues arrivait pour s’occuper des parents.
La première ambulance repartit laissant les policiers seul en pleine cambrousse avec deux petites filles d’un an tout pille sur et dans les bras. Emma essayait de joindre l’assistance sociale depuis plus d’une heure. Elle commençait à en avoir marre et les deux petites aussi. Elle réussit juste à joindre son supérieur qui lui bafouilla qu’on était dimanche que l’assistante sociale était très certainement débordé et que surtout il était en pleine réunion de famille. Il lui fit donc comprendre très gentiment qu’il n’en avait autre chose à faire et qu’elle avait qu’a se débrouillé seule. La jeune femme compris d’un coup pourquoi il lui avait fait croire que sa présence à elle était indispensable.
Soudain son téléphone sonna, elle décrocha ce n'était ni l'assistante sociale ni son chef mais quelqu'un d'autre, une personne à qui elle avait eut affaire une seule fois auparavant, une personne de très haute importance. Cette personne lui ordonna de déposer les petites à un endroit précis en suivant une certaine procédure. Elle prit donc la voiture et y déposa les deux fillettes. Elle alluma son géo-localisateur pour trouver l'endroit qu'elle cherchait. Elle roula plusieurs heures avant de s’arrêter devant un triste bâtiment entouré d’une belle petite forêt et situé Juste derrière une petite ville.
Emma regarda un instant le bâtiment sur le fronton était écrit « Orphelinat Océane » et dessous la devise de l'institution :
- « Rien ne peut compenser une seule larme d'un seul enfant. Dostoïevski »
La jeune femme soupira. Son regard se posa sur la banquette arrière de la voiture de laquelle était sorti deux siège auto où les deux petites orphelines s’étaient endormies en serrant leur peluche, leurs deux petites main potelé se rejoignant. Elle hésita puis sortit de la voiture, ouvrit la portière et pris les deux enfants dans ses bras. Cassiopée se blottit instinctivement dans ses bras et Calysa continua à dormir. Elle s’approcha du porche et sonna comme elle put.
La porte resta fermé elle sonna une deuxième fois, un pleur retentit et une toute jeune femme ouvrit elle devait tous juste avoir dix-huit ans peut être même juste dix sept ans elle tenait un petite dans ses bras et une autre se cachait derrière sa jambe. Elle allait parler quand elle vit Calysa qui s’était réveillé et qui se mit à hurler en voyant l’autre petite. La jeune femme fit : - « Elle n’a pas l’air très sociable cette petite ! » Elle vit alors Cassiopée qui tentait maladroitement d’attraper la main de sa sœur. Elle soupira : - « Il y' en as deux! Comme ci une ce n’est pas suffisant! Je suis désolé mais là on as plus de place »
Emma eut une petite moue embarrassé et fit:
- « On m'avais prévenue que vous risquiez de me dire ça mais voilà j'ai été contacté et on ma dit de vous précisez que ces fillettes sont placé sous la protection upsilon. Cela vous dit quelque chose?
- Ah mais ça change tous! Suivez moi! »
La policière obéis et rentra, la jeune femme ferma le porte derrière elles. Elle demanda : - « Bon laquelle est laquelle?
- Calysa à droite avec le poney vert et Cassiopée avec le poney violet à gauche! » La jeune femme ouvrit une porte, cette dernière donnait sur une petite pièce remplit de lit de bébé. La jeune femme déposa l'enfant qu'elle tenait dans ses bras dans un lit avec un autre bébé. Elle déplaça ensuite un autre enfant. Elle prit Calysa et la mit à la place de l'enfant qu'elle venait de bouger. Elle prit enfin Cassiopée et la mit dans un autre lit. Cassiopée et Calysa se mirent à hurler, la policière soupira et prit Calysa dans ses bras pour la mettre dans le lit de sa sœur, elle déplaça le bébé qui partageais le lit de Cassiopée pour les laisser les deux petites entre elles.
Les jumelles se regardèrent et se mirent a gazouiller comme si elle discutais, la troisième petite se mit a gazouiller à son tour et tendis les bras vers la jeune femme qui l'avais mise dans son lit, cette dernière souffla:
- « Non Chayna pas maintenant! »
La petite se mit à pleurer et la jeune femme céda et la prit dans ses bras. Emma sourit puis sortit de la pièce, Cassiopée se mit à hurler. La policière s'arrêta hésita quelque instant puis se remit à marcher. Elle quitta l'orphelinat rentra dans sa voiture, et conformément au ordre qu'elle avait reçu un peu plus tôt dans la matinée elle oublia tous ce qui s'était passé, ou du moins elle fit tout comme.
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