Léd avait eu quelques démêlés avec ses camarades et ne se sentait pas très bien à l’orphelinat. En tant que majeur (même si aux yeux de son pays elle ne le serait que dans 3 ans) elle avait la possibilité de s’échappé plus facilement de l’orphelinat. Elle en profitait donc pour aller visiter l’île et se détendre. C’est ainsi qu’elle avait rencontré Stuart en faisant de la marche pour améliorer son endurance sachant que courir était prohibé pour l’instant elle l’avait croisé sur la plage. Il portait un uniforme militaire et cela avait interpellé Léd qui se demandais si il y avait des possibilité de carrière dans ce domaine sur cette île perdue. Il était assez réservé et avait surement été surprit qu’une jeune demoiselle vienne interpellé comme cela sur une chose aussi banale par les temps qui courent que son uniforme militaire. Mais il avait accepté de conversé avec Lédéhanne et elle en était ravis il avait parlé de la base et cela avait motivé Lédéhanne ! Elle était heureuse de connaitre encore une nouvelle personne et entre deux cours et l’aide à la reconstruction de l’île elle aimait bien rendre visite.
C’est ainsi qu’elle avait en cette après-midi libre troqué son uniforme bleu et blanc de l’orphelinat contre un pantalon fluide au motif fleuri et un corsage gris d’été avec lequel elle supporterait mieux la chaleur qu’amenait l’été elle avait hésité avec une robe longue mais si il marchaient comme prévue cela ne serai pas pratique. Il faisait très lourd et très chaud un temps dont elle n’avait pas l’habitude dans la montagne où il y avait toujours une masse de vent malgré la chaleur et elle s’était dirigée vers la plage en prenant son chapeau ! Elle était assez stressée tous les jours et était heureuse d’aller retrouver une personne avec qui elle pourrait parler de ses rêves et juste de tout et rien !
Lorsqu’elle arriva sur le sable elle enleva ses chaussures, le sol brûlait ses pieds mais c’était agréable. Elle se mit à chercher arty du regard mais elle était visiblement la première.
*j’espère qu’il n’a pas oublié* se dit elle dans son fort intérieur
Puis elle se mit à fredonner le Jodle un chant autrichien qu’elle aimait particulièrement et qui lui faisait passé le temps « Jodler-i-ii-ai Jodle-ii io jodle liben berger und blumen … »