Lom était là, au milieu de la foule, encore, elle détestait ça être entouré de plein monde, pressé de tous les cotés, bousculé, elle soupira et gémit quand un enfant lui piétinait le pied, elle ne le gronda pas, ce n'était pas sa faute, ils étaient bien trop dans le hall qui lui était trop petit pour tant d'enfants et adolescent. Elle soupira et se pressa un peu plus contre Loreleï qui était à ses coté, l'un de ses seuls soutient, elle lui fit un petit sourire, elle appréciait d'avoir une personne avec qui passer du temps, qui ne passait pas son temps à lui en faire voir de toute les couleurs, elle en avait plus que marre de toute ces filles, qui la snobait car Aurore lui en voulait, pour Charlie, Charlie, même Lore ne le savait pas, qu'ils étaient ensemble enfin plus ou moins.

Elle releva la tête d’ailleurs, pour essayer de le repérer dans la foule, Charlie, où pouvait il être, il ne devait pas être très loin. Elle chercha, s'agitant un peu, intriguant Lore peut être mais ça n'avait que peu d'importance pour elle, elle voulait le voir, juste le voir, elle ne demandait rien de plus, elle repéra Basile, le meilleur ami de celui ci, elle se dit que là où il y avait Basile il y avait forcément Charlie, c'était vrai, elle repéra le jeune homme dans un coin de la pièce, elle lui sourit, ne sachant pas si il la voyait, elle était certaine qu'au moins personne ne pourrait comprendre qui elle regardait ainsi, il n'y aura pas de problème, pas aujourd'hui. Elle reporte son attention sur Loreleï, va lui dire un truc quand le silence se fait, Moor vient de rentrer.

Lom écoute à peine ce qui se dit, elle ne réalise pas qu'on parle de binôme, nan elle ne comprend pas ce qui se passe, elle ne comprend que quand elle entends son nom associé a celui de leur professeur de littérature, elle ne comprend pas avant qu'on la pousse doucement vers le milieux de la salle, elle soupira. Elle regarda le prof qui se tenait déjà au centre de la salle, les murmures commencèrent à grossir, elle soupira, pourquoi elle se retrouvait avec un adulte, un homme qui plus est, et pourquoi elle devrait rester avec lui pendant toute l'après-midi. Elle lui fit un sourire qui se voulut enjoué, le prof n'y était pour rien après tout.

Elle soupira un peu cependant avant d'aller s'asseoir, prenant garde à qui était déjà assis, elle ne voulait pas rester coincé avec des gens qu'elle n'appréciait pas. Elle soupira quand elle aperçut les personnes qui vinrent à ses cotés, une surveillante et sa professeur de mathématique, ce que c'était étrange de se retrouver coincer avec plein d'adulte, elle ne savait ni quoi dire, ni quoi faire alors elle se contenta de fixer son assiette en silence, elle ne voulait pas que ça dure éternellement, elle se dit que la fin de journée s’annonçait mortelle. Elle soupira avant de prendre un verre, ne faisant pas vraiment attention a ce qu'il y avait dedans.

Passage dans un autre Post ^^ :

Elle alla se rasseoir, non sans pousser une série de juron en finnois puis en chinois et en japonais avant de passer au français, sa langue qui lui manquait tant. Elle s'assit en face du prof, finissant de jurer dans sa lange, persuader que peu de gens comprenait le français, elle finit par se taire et sourire d'un air innocent, son regard continuant cependant à fixer Charlie d'un air mauvais. Elle sourit au professeur en lui murmurant :
- « Sorry »
Elle se plongea de nouveau vers son assiette, toujours vide.

Nathan n'aimait pas du tout les événements qui étaient en train de se produire. Ils avaient été obligé de se réunir dans le hall. Qui étaient « ils »? C'était cela qui était problématique. « Ils » consistait en la totalité des personnes vivant, travaillant, fréquentant l'orphelinat. Une demande de la directrice pour la venue d'un « Inspecteur », c'est ce qu'elle avait dit au personnel. Cependant, le hall n'était pas fais pour accueillir autant de personnes, en plus des tables qui avaient été installés pour le repas.
Pour l'occasion, Nate n'avait pas fais un effort particulier, niveau tenue. Après tout, il mettait des costumes tous les jours où il avait cours. Il avait mis un costume noir, simple, une chemise blanche et une cravate noire. Seul vrai changement, seul petit effort, il s'était rasé. Il n'aimait pas particulièrement se raser, il préférait garder une petite barbe de trois jours.
Il s'était rendu dans le hall en compagnie de Spencer. Il s'était retenue de lui tenir la main devant tout le monde, il n'avait agi avec elle que comme un ami. Pas qu'il voulait particulièrement caché la relation qu'il entretenait avec la jeune professeure mais il jugeait que cela restait de l'ordre du privé et que ce ne serait pas professionnel de s'afficher devant les élèves.

Il écouta distraitement ce qu'il se disait, essayant principalement d'empêcher Spencer – et l'enfant qu'elle portait – d'être bousculé par la foule, mais c'était un peu peine perdu avec le monde réuni. Tout ce qu'il comprit donc fut que des binômes avaient été prévu, mélangeant le personnel et les orphelins. Nate ne comprenait pas vraiment pourquoi, c'était un peu bizarre.
Il fut mis avec une Ruban Verte : Salomé Recrosio. Il ne connaissait pas très bien la jeune fille, il savait juste qu'elle était dans cette classe. Elle ne sembla pas ravie de voir avec qui elle était et de devoir quitter son amie pour se mettre en binôme avec un professeur. Nate comprenait ce qu'elle ressentait : une fille de son âge aurait probablement préféré rester avec ses amis, c'était tout à fait normal. Pourtant, elle lui adressa tout de même un sourire enjoué.
Les deux allèrent s'installer à table et Nate fut plutôt surpris du menu du repas. Ils n'avaient pas beaucoup l'occasion de manger de tel plat, à l'orphelinat. Il fut ravi de voir que Spencer vint s'asseoir à côté de lui, accompagnée d'une surveillante, si sa mémoire était bonne. Au moins, il pourrait lui parler un peu. Néanmoins, il ne voulait pas non plus laisser Salomé seule, la pauvre, déjà qu'elle devait se coltiner sa compagnie, si en plus, il ne lui faisait pas la conversation, il n'imaginait pas à quel point elle allait s'ennuyer.
Il se tourna vers elle, dans l'espoir d'engager une conversation, probablement un peu futile mais autant en profiter pour apprendre à connaître son élève. Il remarqua qu'elle l'observait, mal-à-l'aise et Nate ne sut pas vraiment comment engager la discussion. Avant qu'il ne pense à une bonne idée, elle s'éloigna vers un ruban vert – Charlie Smith, Nate se souvenait de son nom à lui, il était du genre à se faire remarquer.
Salomé revient assez rapidement, après quelques paroles échangés avec Charlie et la petite ruban jaune qui l'accompagnait. Elle était énervée et jura un peu en différentes langues que Nate ne connaissait pas. Elle finit avec du français et cela surprit Nate. Elle s'excusa auprès de lui, elle ne pensait certainement pas que le professeur avait compris les jurons qu'elle avait poussé en sa langue natale.

« Tu sais, il s'exprimait en français, ce n'est pas très beau de voir une jeune fille parler avec tant de vulgarité. »

Il n'y avait aucune animosité dans sa voix en réalité. Il était plutôt amusé – et puis, les jeunes avaient tendances à être vulgaire, c'était bien normal et ça lui arrivait aussi de jurer, lorsqu'il était énervé.

« Donc, reprit-il dans sa langue maternelle, tu es française Salomé ? »

Autant commençait une conversation ainsi, il espérait que s'exprimer en français la mettrait à l'aise et qu'il pourrait engager une conversation. Autant tout faire pour que l'après-midi se passe le mieux possible.

Salomé n'était pas parvenue a se contrôler, ce n'était pas habituel chez elle de jurer ainsi mais Charlie l'avait mise dans tous ces état, elle ne voulait pas vraiment se prendre la tête avec lui surtout qu'elle ne pourrait pas se réconcilier avec lui avant un moment, elle soupira doucement, elle se sentait mal d'avoir lancé tant de juron et quand elle compris que le professeur lui aussi maîtrisait le français elle crut qu'elle allait mourir de honte, elle devint toute rouge et elle n'osa plus le regarder, elle ne voulait pas qu'on la prenne pour une personne mal élevé et elle était tellement honteuse, elle eut envie de se cacher sous la table tellement elle était gêné, pourtant le prof ne semblait pas lui reprocher tant que ça, mais tout de même, elle avait honte d'elle. Elle releva tout doucement la tête pour regarder Monsieur Loyson, elle balbutia :
- « Je suis vraiment désolé, je me suis emporté, je vous prit de m'excusez, ce n'est pas mon vocabulaire habituel. »
Elle accompagna ses mots d'un regard implorant, elle était mal à l'aise, tellement, elle savait pourtant qu'il lui fallait faire attention mais elle n'avait pas réfléchit, encore une fois.

Elle écouta la question, ça lui faisait du bien d'entendre du français, elle qui vivait en anglais à longueur de journée. Elle lui sourit, heureuse de savoir qu'elle pourrait parler un peu français, finalement l'après-midi ne serrait pas si long que ça. Elle réfléchit cependant à toute vitesse, il ne fallait plus qu'elle parle sans réfléchir, il fallait qu'elle pense à sa couverture, elle ne devait rien dire qui compromettais ce qu'il était écrit dans son dossier, aussi réfléchit elle avant de répondre a la question du professeur, gardant l français, elle aimait tant sa langue :
- « Par mon père oui et finlandaise par ma mère. »
Elle sourit, c'était douloureux de parler de ça, d'autant plus qu'une partie était fausse, ses deux parents étaient français, c'était une partie de sa couverture, pour expliquer sa maîtrise quasi parfaite du finnois.

Elle regarda une nouvelle fois Charlie, elle ne vit pas le verre de Molly cette fois, aussi reporta t'elle son attention sur leur professeur de littérature, elle lui sourit de nouveau avant de demander :
- « Vous aussi monsieur ? Vous venez de France ? Si ce n'es pas indiscret bien sur, je en veut pas vous paraître plus impolie encore . »
Elle soupira, oh oui elle s'en voulait du tas de juron qu'elle venait de sortir, elle ne pouvait qu’être soulagé que personne d'autre autour d'eux a put saisir, quoi que, elle regarda la prof de Math, qui semblait saisir, si ce n'est tout au moins une partie de leur conversation. Elle était au moins soulagé, Aurore était loin, elle était à l’abri de celle ci. Elle finit par se servir un peu d'entrée, n'osant cependant pas commencer à manger, attendant que celui qui lui faisait face réponde.

« Tu n'as pas à t'excuser ! Tu as le droit de jurer, ne te gêne pas pour moi. »

Il désigna Charlie de la tête.

« Surtout si ce garçon t'a énervé de quelques manières que ce soit. Parfois, on ne peut pas se retenir, n'est-ce pas ? »

Il sourit gentillement à Salomé. Il tourna la tête de chaque côté, observant les personnes attablés qui ne semblaient pas prêter attention à leur discussion, à part peut-être Spencer, assisse à côté de lui.

« Et puis, il semble que personne ne t'es comprise alors, ça restera entre nous. »

A vrai dire, Nate était plutôt heureux d'entendre du français. Cela faisait beaucoup de temps, même avant qu'il ne vienne en Nouvelle-Zélande, qu'il n'avait plus entendu du français. Sa sœur vivant désormais au Canada, ils avaient pris l'habitude de parler en anglais quand ils s'appelaient – ce qui était stupide en soi, mais que voulez-vous, ils l'avaient fais un peu sans réfléchir. Ça faisait une éternité qu'il n'avait plus appeler ses parents, il prenait de leurs nouvelles à travers sa sœur et elle leur donnait des nouvelles de lui, du coup, ils ne s'appelaient pas. Le français lui manquait donc. Si bien que les sonorités avaient une texture différentes sur sa langue, comme si il avait perdu une vieille habitude. Il entendait même sa voix sonnait différemment. C'était vraiment étrange, mais pas déplaisant. Ce n'était jamais déplaisant pour lui de parler français.

« Tu parles donc finlandais ? C'est impressionnant ! »

Nate avait une passion pour les langues, il adorait ça. Si il n'était pas devenu professeur de littérature, il aurait probablement continuer d'étudier l'espagnol après le lycée – en plus de l'anglais – et aurait travailler dans ce domaine. Malheureusement, il avait totalement abandonné l'étude des langues à l'université et son espagnol en était réduit à quelques simples phrases.

Il répondit à la question de Salomé, en souriant :
« Tu n'es pas du tout indiscrète, je t'ai posé la question en premier alors je peux bien y répondre. Oui, je suis français, même si j'ai vécu une grande partie de ma vie en Angleterre. »

Il remarqua ensuite que la jeune fille ne touchait pas à son assiette.

« Tu ne manges pas ? On n'a pas souvent l'occasion de manger comme cela, ici. Tu devrais en profiter, dit-il, un sourire toujours pendu à ses lèvres. »

Regardant son assiette toujours silencieuse, Salomé entendit le prof lui dire que ce n'était pas la peine de s'excuser, que jurer était son droit. Elle fut surprise d'entendre ça de la part de son professeur, elle qui se faisait punir quand elle plaçait un mot déplacé, elle ne peut s’empêcher de rougir et ça empire quand Monsieur Loyson parle de Charlie, elle se sent idiote de s'être affiché de la sorte, elle est certaine qu'on l'a remarqué. Elle finit par hocher la tête :
- « Oh Charlie, oui mais tout de même, c'était impolie de ma part. »
Elle le regarde sourire encore alors qu'il regarde tout autour d'eux. Elle se demande qui aurait put l'entendre, elle n'ose pas regarder la prof de Math, elle ne doit pas comprendre le français, elle l’espère en tout cas. Elle s’entend dire que personne d'autre n'a compris et qu'il n'en dira rien. Elle sourit, reconnaissante.

Elle était contente de pouvoir parler français, elle avait l'impression de perdre ses basses, tout comme elle perdait ses notions de finnois, sans parler du japonais et du chinois. Elle soupire alors qu'il lui demande si elle parle bien finnois, elle hoche la tête :
- « Oui nous parlions les deux langues avec mes parents, mais je croit que je vais finir par oublier ces langues, on ne parle qu'anglais ici. »
Elle soupire doucement, cette idée lui fait un peu bizarre, de se dire qu'elle ne sauras plus communiquer dans ces langues qu'elle aime tant. L'anglais ne la dérange pas mais elle trouve cette langue tellement moins noble et riche que le français, elle aime les sonorités de sa langue maternelle, et ça lui manque, alors au final elle est contente d'être avec ce prof, car elle n'aurait jamais sut qu'il parlait cette langue lui aussi et elle n'aurait jamais osé aller le voir de toute manières.

Il lui sourit en lui confirmant ce qu'elle pensait, il était français, même si il lui avoua avoir vécut une bonne partie de sa vie en Angleterre. Il lui dit ensuite qu'elle devrait manger, car ce type de nourriture est rare ici. Elle hoche la tête avant de murmurer :
- « Je compte manger, ne vous en faites pas, c'est simplement qu'il aurait été mal polie de manger alors que vous répondiez à ma question. »
Elle sourit, prenant enfin une bouché de nourriture, elle ne peut cependant s’empêcher de comparer ce repas de fête à ceux qu'elle avait chez elle. Elle a envie de parler encore, profiter de sa langue, mais elle ne sait pas vraiment comment relancer la conversation, elle finit par demander à mi-mot :
- « Et de quel région venez-vous ? »
Elle aimerais poser des questions un peu moins bateau mais elle sait qu'elle risque d'être indiscrète alors elle reste simple dans ses questionnements, mangeant doucement.

Il ne pouvait définitivement pas s’empêcher de sourire. Il aimait tellement parler sa langue. Il adorait l'anglais - l'Angleterre était devenue sa deuxième patrie - mais le français sonnait comme la maison.
Il prit une bouché de sa salade, mâchant doucement avant de reprendre la discussion.

"Ce serait triste de devoir arrêter de parler les langues que tes parents t'ont appris, dit-il, en fronçant doucement les sourcils. Si tu veux, nous pourrions parler en français tous les deux, pour nous exercer. Moi aussi, j'ai un peur de perdre mon français. On ne parle malheureusement pas assez de langue ici, alors que tout le monde vient de différentes parties du monde. C'est assez dommage."

Il continua de manger doucement. Il appréciait la compagnie de la jeune adolescente, c'était agréable de discuter avec elle même si elle ne semblait toujours pas à l'aise avec lui. Nathan souhaitait pourtant qu'elle se sente bien avec lui, puisque lui appréciait ce moment. C'était dommage qu'elle se bloquait, parce qu'il était un professeur, mais il comprenait ce qu'elle ressentait.
Il répondait tranquillement à ses questions, essayant toujours de la mettre à l'aise.

"Je viens de Lorraine, c'est une région au Nord-Est de la France. Il fait plutôt froid là-bas, il pleut presque tout le temps. Mais j'aime bien cette région et le temps de l'Angleterre ne m'avait pas changer quand j'y suis allé du coup, sourit-il. Mais c'est une région plutôt inconnu. Quelles régions de France connait-tu ?"

Salomé se sentait un peu moins mal à l'aise, c'était peut être l'utilisation du français qui lui faisait du bien, après tout peu de gens pouvait comprendre cette langue, ainsi elle était tranquille. Elle sourit doucement alors qu'il se servait à manger et elle en profita pour se nourrir également. Elle regarda autour d'elle, fixant Charlie, elle espérait qu'il avait arrête de faire n'importe quoi, mais elle en doutais en réalité. Elle reporta son attention sur son professeur en lui souriant alors qu'il évoquait le fait que perdre des langues était dommage, elle hocha la tête doucement, c'était vrai et puis ses parents seraient déçue.

Il lui proposa de parler français ensemble et le sourire de Lom s'agrandit encore un peu plus, elle hocha la tête avant de répondre :
- « J'aimerais beaucoup. »
Elle sourit sincère, l'idée lui plaisait vraiment et puis elle appréciait de parler de son pays avec quelqu'un qui le connaissait aussi, ça la changeait drôlement. Elle continua de manger, savourant les saveurs rares ici, elle préférait cette nourriture à celle habituelle.

Il lui parla alors de sa région, la lorraine, elle connaissait un peu, pas vraiment mais ce n'était pas si éloigné de chez elle, enfin son ancien chez elle. Salomé esquisse un sourire, replace une mêche de cheveux convenablement puis elle posa ses couverts et esquissa un nouveau sourire avant de lui répondre.
- « Je vivait en Champagne Ardenne, ce n'est pas très éloigné et le climat est aussi froid, mais j'aimais ça, la neige et tout le reste. J'ai aussi voyagé, en Bretagne et dans les Alpes aussi, mon père faisait du commerce un peu partout. »
Elle repris ses couvert et mangea un peu avant de demander intriguée :
- « Pourquoi l'Angleterre ? »
Elle continua de lui sourire se demandant si il allait lui répondre, la question pouvait sembler indiscrète.