Minuit. À cette heure tout le monde est bien tranquillement chez lui au chaud.
Taehyun, lui était comme à son habitude sorti. Des soirs il se baladait dans les rues, ou même dans les ruelles, il prenait son sac où il mettait son couteau, sa poudre au cas ou un clients serait dans les parages. Ça lui arrivait également de se diriger vers la forêt. Celle ci était immense et touffu, avec peu de sentiers.

Cette nuit là c'était là bas qu'il s’était dirigé. Il y était aller en particulier pour se libérer de pensées. Ces pensées qui l’au-pressait, la culpabilité vis à vis de Jihyun qui était morte de la main de son père par sa faute disait il.
Puis aussi le faite d'être le fils d'un criminel, du criminel le plus vicieux, pervers et morbide de toute l'Asie.
Le faite de le savoir entrain de violer puis d'égorger de pauvres femmes, ne rien pouvoir faire, ne pas pouvoir arrêter son propre père.
Son esprit était également torturé par toutes les substance qui lui avait détruit une partie de sa vie, détruit son enfance et continuait à le faire sombrer. L'homme n'avait rien. Ni aucune idées, ni aucune chose pour s'accrocher. Pour ne pas tomber plus bas. Aucune vrai raison de rester en vie. A part le faite que vivre était pour lui synonyme de résistance face à son père.

Il était arrivé à la lisière de la forêt. Il s'y engouffra.
Tae était simplement vêtu d'un léger t-shirt sans manches, et d'un jean simple.

Enfin arrivé dans une clairière, l sorti son poignard de sa besace, le fit tourner entre ses doigts, et le jeta avec force dans un tronc. L'arme s’enfonça jusqu'au manche. Mais Tae, avec un peu de concentration, arriva à le retirer sans peine.
Taehyun s'enroula un bandage à chaque mains, puis il s'imagina, sans peine, un adversaire invisible et fit tournailler la lame dans les airs avec grâce, une grâce qui faisait froid dans le dos, une grâce de meurtrier. Il continua sa danse mortelle durant une bonne heure, changeant entre les courbes, fente, esquive, saut, une attaque à droite une à gauche, esquive, se baisse en arrière au point de faire le pont, saute en évitant une corde invisible, coups de pieds, de poings, une directe, un fouetter, il se défouler les yeux clôt se calant sur sa respiration et les bruit de la forêt endormi ....

Il retira son haut, trempé, et s'étendit au sol, à même la terre.
Ainsi couché, les yeux fermés, les bras en croix et ses grande cicatrices; on aurait pu croire un mort.
Il resta ainsi de longue minutes puis entendit un bruissement de feuille.
Il se leva tout de suite et pris son couteau à la main, à l'affût.
Il vu l'endroit où la bête -ou la personne- se cachait. Elle était tapie dans un endroit sombre encombré de fougères.
Taehyun, tel un prédateur, approcha sans bruit, doucement, ses muscles se contractèrent. Il bondit à l'endroit même où elle se cachait. C'était une personne assez petite, une femme d’après ses forme que le jeune homme sentait contre son corps d'homme -aux quel Tae ne pris pas grande attention- . Taehyun la plaqua contre un arbre et planta son arme à quelques millimètre de la tête de la personne. Il approcha son visage de celui de l'autre et murmura :

-"que faisais tu ?"

Taehyun prononça ces mots d'un ton froid.
Il était peut-être froid et calme, mais au fond de lui, il était apeuré.
Qu'es que cette inconnue avait vu ? Depuis quand était elle là ? Avait elle vu ses cicatrices ? Qui était elle ?
Il se recula, pour voir son visage.
C'est là qu'il la vit. Elle avait de joli yeux noir, des cheveux foncé qui encadrer son visage d'une façon spéciale, son regard exprimait un mélange envoûtant, un mélange d'un regard apeuré, mais dur; une tristesse, mais un air malicieux lui faisait contraste. Il était indescriptible. Elle était asiatique.
Ses bras que Taehyun tenait fermement était fins, mais il pouvait sentir ses muscles sous sa chaire.

Tae resta ainsi perturbé par la jeune fille pendant plusieurs instants. Il dé serra son emprise et décrocha son regard de celui de la jeune fille. Il parti vers son sac sans un mot de plus. Il le pris sûr son épaule, y fourra son t-shirt et s’apprêta à retourner chez lui, les épaules recourbées.

Lorsqu’il surprit la fille en la collant a cet arbre, elle évitait le regard de l’homme placé à une distance très courte. Lui sentait le souffle de la demoiselle sur son cou. Le jeune homme recula un peu désorienté par ce contacte, il en profita pour l’observer.
C’est à ce moment qu’il s’emballa. Elle avait plongé son regard dans le sien. Il frissonna, ce regard. Ce regard fit circuler en lui un frisson qui parcourut son échine.
Il « s’enfuit »évitant son regard, qu’il désignait comme dangereux. Trop envoutant. Reculant dans une hâte mal dissimulée il fit tomber la jeune fille. Il eu le reflexe de se retourner inquiet mais il se corrige tout de suite et ne fit rien pour la relever et parti vers son sac le tee-shirt sur l’épaule le sac dans une main, son arme dans l’autre. Il fit un pas, mais il fut coupé dans son élan par la jeune fille qui lui dit ces paroles avec malice :

-« Dis donc, se type de poignard et vraiment lourd et vraiment difficile à manipuler pourtant, tu es vraiment doué ! ... Pour répondre à ta question, je marchais, je me suis cogné contre un arbre et t'es aperçu jouant avec ton poignard.»

Le jeune homme confus ne se retourna pas, pour ne pas rencontrer ce regard… perturbant.
Il répondit d’un ton froid sans bouger. Ni pour se retourner, ni pour partir.

-« Oui ce n’est pas un poignard pour fillette. J’ai passé une grande partie de ma vie à travailler cette arme.
Tu es là depuis quand ? »

Il posa cette question après un petit blanc. Il fit tourner la lame dans sa paume ce qui effila le bandage qu’il avait a la main, celui-ci tomba a terre dans un léger bruit de l’herbe et des brindilles qu’il rencontra. Il ne prêta n’y aucune attention, trop occupé à se concentrer sur la respiration de la jeune femme ainsi qu’aux bruit a l’entoure, guettant si elle se déplaçait et a l’aguets de ses possible réaction, étant donné qu’il ne la voyait pas.
Il avait l’habitude, quand il rentrait en effraction chez les gens affin de les voler ou pour prendre des informations pour son père, il avait apprit à interpréter les émotions et gestes des gens par rapport a leurs respirations ou aux in tonalités de l’environnement.
Il resta ainsi : debout, tors nu, une main bandée tenant un sac, l’autre main nue jouant avec un poignard, se faisant des petites entailles a chaque passages.

Taehyun était toujours de dos, il senti que la jeune femme était troublé, par quoi il ne savait pas.
Puis elle se lança sur lui, il eu à peine le temps pour se retourner.
Cela le surpris, surtout venant de cette demoiselle, elle lui semblait fragile. Il y avait seulement ce regard qui pouvait correspondre à cette rapidité. Il décida de se laisser faire pour pouvoir cerner la jeune femme.
Cette dernière attrapa le poignard de Taehyun qui faillit réagir mais il se retenait.
Elle lui dit d’arrêter car il allait se faire mal, lui il rigola devant les mots de la demoiselle.
Celle si resta quelques secondes inactive, Tae la regardait intrigué, il la vit verser des larmes. Puis elle les essuya du revers de sa manche.
Elle ramassa le bandage et l'enroula à la main de Taehyun.
Celui ci l'observait. Elle l’intriguait vraiment. Elle n’avait pas peur de lui trouvait ça normal qu'à minuit un homme "joue" aux poignards dans la forêt, et puis la rapidité qu'elle avait montré quelques minutes plus tôt l’étonnait.
Il rigola doucement lorsque la jeune fille lui banda la main, elle remettait un bandage sale avec de la sueur sur une plaie, et avait laissé des plis et des bosses.
Heureusement que Taehyun n'était pas sérieusement blessé.

Puis Taehyun se tu arrêtant de rire. Elle le fixait de ses yeux envoutant. Il s'y enfonçait comme des sables mouvants, arrivant pas à sortir.
Ce qui les fit retirer leurs regards de celui de l'autre et leur position.
À une distance très limite, yeux dans les yeux, lui torse nu, elle lui tenant la main.
Tout deux rougit, elle lâcha la main du jeune homme reculant et marmonna une excuse.
Et se retourna s'arrêtant à partir.

Il resta quelques secondes ainsi. Sur pause. N’osant plus bouger.
Il se mit en action. Taehyun parcouru les quelques mètres qui le séparait de la jeune asiatique à grandes enjambées discrète, comme il avait apprit à le faire.
Il dit la première chose qui lui passait par la tête, voulant inconsciemment que la jeune femme reste.

-Tu a fais le bandage comme tes pieds. Il ne faut pas faire ainsi, tu risque de provoquer une infection.

Le jeune homme perturbé marqua un temps de pause puis reprit.

-Moi c'est Taehyun Ryu. Je viens de la province du Gyeonggi, à Hwaseong.*
Au faite tu pourrais me rendre mon poignard ?

*Info:

La jeune fille frissonna de mon rapprochement.
Lorsque que je lui fis la remarque de son bandage raté elle rougit ce qui me fit rire.
J'ignoré la raison de ce rire qui était sorti sous sa seule commande, depuis le début de cette rencontre, je me comporte bizarrement. Je ne contrôle pas ainsi que mes pensées étranges....
Sur le regard de la coréenne passa de la tristesse de la douleur voir de la tristesse.
Je fus pris dune envie de lui changer les idées, de lui enlever cet air du visage.
Avant que ne puisse agir, elle me déplaça en s’excusant pour le poignard qu’elle me tendit. Je l’attrapai avec un geste assez sec, mais sans le montrer je fis attention a ne pas lui entailler la main.
Elle ajouta qu’elle se nommait Joo-Hee elle précisa que son surnom était simplement Joo je l’enviais, moi je n’avais pas de surnom ; enfin personnes n’en n’avait utilisé… La suite de sa réponse me fit sourire, amusé. Cette Joo-Hee souligna le faite qu’elle ne se souvenait plus du nom de sa ville, n’y de sa région apparemment…
Je fus soulagé qu’elle n’ait pas relevé et associé le nom de ma ville et de ma région a celle des meurtres de mon… De Gap Dong.

« Je me permet de te nommer Joo. Moi je n’ais pas vraiment de surnom. » Ajoutais-je.

Joo plongea une nouvelle fois son regard dans le mien, je la regardai avec un mélange d’étonnement et de peur. Je n’aimais pas cette attirance qu’avaient ses yeux sur les miens. Cela me rappela trop de mauvais souvenirs que je voulais supprimer. Supprimer ce regard qui me hante chaque nuit comme une punition, une torture, une vengeance.
Lorsqu’elle retira son regard profond du mien je me raclai la gorge légèrement gêné et stressé par ce phénomène. Elle me demanda si je venais jouer avec mes poignards régulièrement. Je la regardai quelques secondes puis ajouta.

« Je pense que souvenant n’était pas assez fréquent. Je ne saurais dire le mot exact mais environ un soir sur deux, ou plus si mon travail le permet.
Mais mon savoir n’est pas dû  à ces entrainements. Dison que c’est pour ne pas le perdre, en cas de besoin…»

Je ne prisais pas mais ce besoin éventuelle est une arrivée de mon père ici.
Je ne voulais pas lui dire cela, je passerais pour un fou qui évite son père pour ne pas retourner à l’asile.
La jeune fille me demanda si j'avais appris à être discret, elle ajouta quelle ne m’avais pas senti arriver quelques temps plutôt.
Je mis un temps à répondre à la jeune fille ne sachant pas quoi lui répondre.
Lorsque je pris la parole, je me pris un ton bas sans expression.

- "Oui. J'ai eu un certain entraînement. Depuis mon plus jeune âge.
Et toi, dis-moi d'où tu tiens ta rapidité."

La jeune fille me regardait alors que je lui parlais. Son regard passait quelques fois dans le mien, laissant mon regard s'y accroché le temps dune seconde.
Elle me donna son accord pour la surnommée "Joo" et précisa quelle m'appellerait désormais "Tae". Cela me fit bizarre. Les larmes me montèrent aux yeux à ce son. "Tae"... Jihyun ... Tu étais la seule personne à me nommé ainsi.
Les autre c'était le "Ryu" "le fou" le "psychopathe" le "cingle" l'"idiot" pour les plus poli ou ceux qui nous connaissait pas -moi ou mon père- "Taehyun".
Jamais autrement.
Je détournai le regard, regarda la cime des sapins qui nous entouraient. Aillant repris mes esprits je tournai à nouveau la tête vers Joo-Hee. Cette dernière m'apprit quelle tenait cette rapidité de ses entraînements spéciaux. Très spéciaux précisa-t-elle sur un ton plus bas. Je me tue, pensant que si elle avait baissé d’un ton ce n'était pas pour que je lui demande précision. Je e fit tout de même du regard. Lui indiquant silencieusement quelle pouvait continuer si elle le voulait. Seulement si elle le voulait.
Au fils de notre conversation la jeune fille me mettait en confiance. Je sentais que je pouvais dire des choses que je ne pouvais pas prononcer sans m'attirer la méfiance et la haine des autres. Je sentais quelle était spécial.
Elle me sorti de mes pensées en me demandant mon expérience avec les autres armes.
Je regardai le ciel nocturne puis li fit à nouveau face.
"J’ai un certain niveau en divers art martiaux, je peux me battre à l'aide dune barre. Mon niveau de boxe est assez élevé. Mais je ne maîtrise pas les armes à feu. Je ne sais seulement la base."
Elle me fit l'annuaire de ses capacités.
Je souris. Rare sont les femmes sachant manipuler une arme alors toute était vraiment rare. Je sourie également en pensant à mon père. "Tu vois, toutes les femmes ne sont pas faibles."
"Le sabre n'est as seulement une belle arme, mais également un art magnifique. Il lie le corps, l'âme et l'objet dans la grâce."

Elle prit mes mains sas es siennes et me fixa. Je la regardai étonné.
Elle paniqua et me rassura quelle ne ferait rien à personne, s'excusa de me poser des questions et ajouta que je devais la prendre pour une folle. Tout cela dune rapidité impressionnante.
Je la regardai durant un moment sans savoir quoi dire, puis devant son regard si gêné, je fus pris d'un fou rire. Un rire qui m’était propre,  celui qui faisait peur aux gens, celui dit psychopathe.
Je rigolai durant une bonne minute ne me rendant pas compte que je tenais toujours ses petites mains dans les miennes.
Je la regardai encore entrain de rire, mon fameux sourire déformant mon visage.
"Alors la tu fais ce qui te plais ! Je suis le premier à être blâmer dans ce domaine donc je n’ai rien à dire !
Les questions ne me dérangent pas ! Enfin si elles me dérangeraient je ne répondrais simplement pas !
Et puis tu na pas à t inquiéter tu es tout à fait normal ! Je suis le premier à être traité de fou, de psychopathe ou autre ! Ce n'est pas toi qui va me faire peur !
Peut-être tu les, mais entre dérangés on se soutient !"

Je dis ces derniers mots en lui donnant une tape amicale sur l'épaule.
À ce moment, les mots étaient sortis tous seuls, sous l'euphorie.
Je n'arrivais pas stopper mon rire. Joo me regardait étrangement, moi, je la regardais avec amusement.

Je restais de marbre après ces paroles… J’eus un gros moment d’analyse et j’éclatai de rire…
On a vraiment l’air de tarer… Enfin, on n'avait pas « l’air » d’être tarés, on l’était.
Je n’avais pas rigolé comme ça depuis si longtemps… J’étais partie en fous rire sans m’en rendre compte. Je déteste mon rire, mais là qu’est-ce que je m’en foutais… Et puis le sourire de Tae est pas mal non plus en matière de psychopathe attitude… Il m’a fait un peu flipper.
Moi s’est mon rire qui fait souvent flipper les gens. Très sarcastique, psychopathe et méchant. Pourtant au fond, il est gentil parfois… Qu’est-ce que j’aimerais être une personne normale parfois…

Quand j’étais petite, j’aimais regarder les boutiques de vêtements. Je rêvais de devenir styliste ou mannequin. Une personne qui travailler dans une grande ville à l’intérieur de bureau grand et moderne. Je rêverais que j’aurai beaucoup d’amis et que j’aurais un mari, qu’il m’aimerait de tous sont cœur et qui sait un jour, on aurait un ou deux enfants. Je les aurais appelées Alice et Leo. J’aurais eu des chats ... PLEINS de chats ! J’adore les chats ! C’est tellement drôle et tellement mignon ! J’aurais eu une vie normale quoi ! J’aurais bien gagné ma vie, j’aurais était heureuse et épanouie ! … Je n'en ai pas eu la chance malheureusement… Il a fallu que mon père soit un mafieux, que je doive me déguiser en garçon un an pour suivre une formation d’assassin. Que je devais tuer des grandes personnes célèbres. Qu’on tue ma mère devant mes yeux. Que je devais tueront petit-ami qui en fait devait être mon pire ennemi… Et que maintenant, je me retrouve ici en plein milieu de la nuit avec un inconnue - beau-gosse - psychopathe qui à un sourire chelou et un regard a couper le souffle.

Sur cette pensée, j’arrêtai de rigoler, j’essuyai les larmes qui perlaient aux coins de mes yeux et je le regardai avec un sourire triste mais rieur

- Aaaaaaah mon dieu ! Moi qui voulais une vie tranquille… Regarde ou j’en suis… Je suis complément paumé ! J’en perds la tête ! Je suis tarée ! Dis-je sur un ton sarcastique. Je suis désolé de t’avoir raconté ma vie… Mais je dois t’avouer que ça m’a fait un bien fout…

Je me décalai de quelques mètres - un ou deux - et je me mis assise. Je ramenai mes jambes vers moi et je me perdis dans mes pensées.

Comment j’en étais arrivée là ?

Je me sentais bien ici. Cette jeune femme avait beaucoup de chose en commun avec moi, je pouvais me passer de cacher une certaine partie de moi en sa présence. Cela me soulageait… Mais aussi elle était un exemple pour tenir tête à mon père. Je fus pris d’un rire fou intérieurement, laissant échapper un léger rie. Je m’imaginais mon géniteur se voir mettre fin a ses jour par son cher fils et une femme. Joo en l’occurrence.
Je fixais la jeune demoiselle qui avait une si forte attraction sur moi avec un regard fou. Fou, mais pas méchant, enfin une personne normale aurait prit peur, mais ce regard que j’adressais a Joo était bien plus profond. Elle, elle seule pouvait le comprendre. Ou Nath, mais sûrement pas dans le même sens.
Inconsciemment j’admirais son visage. Son regard, son sourire, sa gêne m’attrairaient tellement.
Lorsque que son rire réveilla la forêt endormie, je rie avec elle en serrant ses mains qui étaient dans les miennes. Puis je souris sincèrement en la regardant dans les yeux.
Tout en regardant ses prunelles je la rassurai amusé « Je pense que l’on est tout deux dans la même galère ! Ne t’inquiète pas cela ma pas dérangé, je suis du genre à montrer quand tu me dérange. » Puis pour accompagner mes paroles je lui adressai un clin-d’œil complice « Je dois t’avouer que ta folie est bien plus intéressante et attractive que touts ces gens coincé. »
Je la regardai s’assoir plus loin. Mes jambes décidèrent pour moi et m’emmenèrent face à Joo à une distance pas très grande, se réduisant à une trentaine de centimètres, puis je m’accroupis en la regardant.

Alors que je la regardais accroupi face à elle, Joo-Hee baissa le regard de mon visage pour me sortir un compliment. Je la regardais choqué. Mon cœur rata un battement. Dans la seconde mon visage jusqu'à maintenant rieur devint pourpre, tout comme celui de mon interlocutrice.
Premièrement je n’avais pas l’habitude de recevoir des compliments, encore moins de ce type. Habituellement les commentaires sur moi étaient négatifs, ou alors se voulaient positifs mais ils me blessaient plus que les négatifs.
J’avais déjà eu des compliments de la part de Wil ou Nath, mais c’était différent.
Celui sorti de la bouche de Joo m’avais touché autrement. Il m’avait déstabilisé.
Pour la première fois depuis le début de la conversation, je baissai le regard.
Je le relevai furtivement mais je croisai celui de la jeune femme, un regard indescriptible. Je ris nerveusement, contrairement à mon habitude ce rire était faible, presque inaudible. Peut-être était-ce pour me calmer et me détendre que ce rire était sorti seul de mes lèvres.

Cette fille me perturbait. Bien plus encore que l'avait fait Jihyun… peut-être que le mur que j’avais imposé face au monde en était la raison. Ce même mur me permettant de me protéger,  de vivre sans problèmes était entrain de se fissuré par endroit. Et ce déjà depuis ma rencontre avec mon petit frère.

Je voulais répliquer, ne pas rester là comme un idiot, mais je n’y parvenais pas. Les mots me manquaient, ma langue s’emmêler les pinceaux. Je soupirai et me leva. Je souris nerveusement, mais il y avait autre chose dans ce sourire. Quelque chose de plus profond. Passa ma main sur mon visage encore teinté et murmura.

«Ne dis pas de bêtises. » je mis un petit temps avant de reprendre « ne redis plus jamais ce genre de choses sans prévenir. »