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 Mon livre, thème: L'orphelinat.

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Anonymous Invité
Invité
MessageSujet: Mon livre, thème: L'orphelinat.   Mon livre, thème: L'orphelinat. EmptyDim 17 Mai - 13:54

Bonjour (ou bonsoir) à toutes et à tous ! :coeur:

   Alors voilà ! Il y a quelques temps déjà j'ai commencé à écrire une histoire, avec pour thème l'orphelinat. Je raconte, à travers 4 personnages (les miens
+ un nouveau) tout ce qui se passe ici, les rumeurs qui courent en ville, ce qui se passe dans l'orphelinat, en dehors, les liens des personnages ... Voilà. Je posterais ici tout ce que j'écris, ainsi vous pourrez le lire et me donner votre avis. Voilà les premiers chapitres. Bonne lecture, et surtout, n'oubliez pas de me dire ce que vous en pensez ! :face:

Chapitre 1 : ROSE

   Bienvenue dans l’orphelinat MOOR. Nous sommes en Nouvelle-Zélande, en 1992, et l’histoire qui va suivre ne va pas vous sembler des plus communes.

   Rose Dinuxi était une jeune femme à qui tout souriait. Fille d’un écrivain très célèbre et d’un médecin reconnu, elle avait eu une enfance pour le moins joyeuse. Elle était fille unique. Lorsqu’elle eût 18 ans, ses parents, n epouvant plus se supporter, décidèrent de divorcer et de vivre chacun le plus loin possible de l’autre. Anne, étant médecin et ayant toujours eu un goût avéré pour les îles, décida de partir vivre en Nouvelle-Zélande. Rose eût beaucoup de mal à choisir la personne avec laquelle elle voulait vivre. Lorsqu’elle se decida enfin, son choix se porta sur la Nouvelle-Zélande. Là, elle entama des études de médecine. Elle était très aidée par sa mère, malgré le fait qu’elle rentrait tard le soir.

   Un malheureux jour du mois de mai 1990, sa vie bascula. Elle venait de rentrer chez elle et tendit qu’elle attaquait ses recherches poussées sur un nouveau sujet, le téléphone sonna. Elle se leva et décrocha, ne s’attendant en aucun cas à ce qui allait suivre. Une voix masculine qui lui était encore inconnue lui demanda :

   -« Mademoiselle DINUXI ? »

   -« Oui, c’est moi même ! » répondit-elle de sa voix fluette.

   -« Je suis vraiment désolé mais votre mère a eu un grave accident. Nous avons fait tout ce que nous avons pu. Je suis désolé mais elle n’a pas survécu. »

   Elle ressentit tout d’abord comme un poids énorme dans sa poitrine qui lui pesait, l’empêchant de bouger, puis comme un couteau qui transperçait son coeur de part en part. Elle ne trouvait ni la force ni les morts pour répondre au jeune homme. Elle était paralysée, littéralement. C’était comme si elle perdait une partie d’elle même. Elle se demandait compment elle allait faire pour vivre sans sa mère. Elle respira plus profondément tandis que les larmes roulaient le long de ses douces joues. Elle se ressaisit et demanda :

   -« Mon père est au courant ? »

   -« Oui mademoiselle, je l’ai prévenu moi-même il y a 10 minutes. »

   -« Très bien, merci. »

   -« Toutes mes condoléances mademoiselle. »

   -« Merci ».

   Elle raccrocha. Elle pensa soudain à son père. Ils avaient beau être divorcés ils avaient quand même passé 30 ans de leur vie ensemble, ils ne pourraient jamais s’oublier. Elle composa le numéro de son père et attendait qu’il décroche.

   -« Salut ma chérie. » dit-il d’une voix dans laquelle paraissaît toute son éomtion, malgré qu’il essaye de la cacher.

   -« Bonjour papa. Je viens d’apprendre pour maman. » elle éclata en sanglots.

   -« Je suis désolé ma chérie, vraiment. »

   -« Mais désolé de quoi, ce n’est pas de ta faute ! » dit-elle entre deux sanglots.

   -« Désolé de ne pas être là pour te serrer dans mes bras, désolé de l’avoir quittée désolé de tout. »

   -« Papa, je pensais venir te voir, le temps de quelques jours, je ne me sens pas d’affronter cette tragédie seule. »

   -« Mais bien sûr ma chérie, ça me ferait très plaisir. »

   -« D’accord, si je pars demain matin je peux arriver dans l’après-midi, ça t’irais ? »

   -« Si ça te conviens ma puce, ça me conviens aussi ! »

   -« D’accord, alors à demain ! »

   -« A demain."

Chapitre 2 : MORGAN

    Morgan était un enfant comme les autres. Il n’avait ni de soucis à l’école, ni de soucis à la maison. Il a grandit dans une famille qu’on pourrait qualifier de bourgeoise. Depuis tout petit déjà, il amimait jouer à l’école. Ayant 7 fréres et soeurs, ce n’était pas très difficile. Il aimait faire le professeur, donner des devoirs a ses frères et soeurs, et faire régner l’ordre dans sa ‘’classe’’.

   Sa mère n’avait jamais vraiment travaillé, son père, quant à lui, était gérant d’une entreprise florissante, c’est ainsi qu’il nourrissait sa famille. Ses deux parents étaient des passionnés de musique classique, ainsi, cahcun des enfants pris des cours de musique. Chant, pino, flûte traversière, violon, violoncelle ... Il y en avait pour tous les goûts. Morgan, qui avait une fois entendu un beau morceau de piano, décida de s’y mettre. Il progressait, et très vite vint le jour de son premier concert.

   Il n’avait alors que 10 ans, et il ne prennait des cours que depuis trois ans. C’était un mardi, le 19 mai 1969. Le ciel était bleu et le soleil haut dans celui-ci. Il avait vraiment peur. Une boule s’était nouée dans son ventre. Son père, sa mère, ainsi que tous ses frères et soeurs étaient présents dans les coulisses, pour l’encourager. Son tour arriva. Il monta sur scène d’un pas délicat, dans son beau costume noir. Il s’installa sur le siège noir posté devant le piano à queue noir laqué, sans même jeter un oeil au public. Il posa ses petits doigts sur les touches d’ébène et d’ivoire., et baissa la tpte. Il lui fallait se concentrer. Soudain, sans que quiconque ne s’y attende, ses mains se mirent à déambuler, faisant le bonheur de son public.

   C’est l’un de ces meilleurs souvenirs. Lorsqu’il avait 23 ans, alors que sa femme et lui allaient bientôt devenir parents, il apprit qu’il ne taredrait pas à être muté. Ne voulant pas déménager aussi vite, il demanda à son supérieur un délai de quelques années. Ce dernier le lui accorda. Cette même année sa femme accoucha d’une magnifique petite fille. Elle était blonde comme sa mère, et avait les jolies boucles de son père. Son petit nez en trompette amusait toute la famille, mais malheureusement, ces courts instants de bonheur n’étaient qu’éphémères.

   Morgan avait réussit à repousser son départ de 5 ans, le temps que la jeune fille grandisse, mais le jour tant redouté arriva. On le prévint, par un beau matin de Juillet, que sa prochaine rentrée des classes se ferait en Nouvelle-Zélande. Le jeune couple se pressa donc de trouver un foyer sur l’île. Morgan fût le premier à s’y rendre - il faut dire que le temps pressait un peu – pour préparer la maison. La rentrée de Septembre se passa sans encombres pour le jeune professeur qui n’avait pas eu t de mal à s’intégrer, jusqu’au jour où ...

   La maison était prête à accueillir la jeune fille et sa mère. Morgan appella sa femme, comme il en avait coutume, et lui annonça la bonne nouvelle. Ayant prévu leur venue depuis longtemps, elle commanda deux billets pour le prochain vol vers la Nouvelle-Zélande. Ils était tous trois ravis.

   Le lendemain matin, Morgan partit travailler. La journée s’annonçait longue en l’attente de sa petite famille. Lorsqu’enfin le soir fû venu, ce fût un soulagement pour lui. Il rentra chez lui, heureux d’enfin retrouver ses deux meveilles. Il tourna la clef dans la serrure, et ouvrit la porte. Toutes les lumières étaient éteintes. Il pensa d’abord que ses deux petites chéries dormaient, fatiguées du long vol qu’elles avaient eu. Puis, en ne les voyant pas dans leurs chambres, il s’inquiéta. Il pris son téléphone, et appella sa femme. Elle ne répondait pas. Un peu plus tard dans la soirée, lorsqu’il alluma la radio, une nouvelle pour le moins tragique paraissait. Un avion s’était écrasé il y avait de cela quelques heures. Il s’inquiétait de plus en plus. Il fût pris d’une panique très intense. Il regarda sa montre, attrappa ses clefs, et sortit en trombe de la jolie maison. Il monta dans sa voiture et se dirigea vers l’hôpital le plus proche. Là, il demanda à des infirmières si elles avaient eu des rescapés de l’accident. Pour l’instant rien. Il s’installa dans la salle d’attente destinée aux familles, au milieu des autres proches, en attendant des nouvelles.

   Quelques heures plus tard une infirmière vint le voir en lui disant qu’elle n’avait toujours pas de nouvelles, et qu’il ferait mieux de rentrer chez lui et de se reposer. Il refusa. Il voulais revoir sa femme. Bien plus tard, après avoir longuement réfléchis, assallit par la fatigue, il rentra chez lui. Là, il entendit au post de radio que personne n’avait survécu à ce terrible accident. Elles étaient mortes.

Chapitre 3 : LUKE

   Luke était un jeune garçon blond aux yeux bleus. Il faisait de bonheur de ses chers parents depuis son arrivée dans la tribus. Il était le petit prodige de la famille depuis son premier jour d’école. En effet, Luke était très doué au niveau scolaire. Il avait sur lire à l’âge d’à peine 5 ans, et écrivait à peine un an plus tard. Il ne cessait d’avoir des bonnes notes et ses bulletins n’étaient que meilleurs à chaque trimestre, jusqu’au jour où ...

   Le ciel n’était pas vraiment clair et le soleil dormait déjà lorsque le petit garçon de 10 ans rentrait chez lui. Ses deux parents travaillaient jusque tard le soir. Ils ne pouvaient aller chercher leur petit trésor devant l’école, et n’habitant pas très loin, ils le laissaient y aller et revenir seul, ce qui ne le dérangeait pas. Ce soir là, en rentrant de l’école, au coin de la rue, trois garçons de sa classe l’attendait. Ils avaient l’air assez remontés contre lui. Il s’approcha en baissant la tête, il voulait passer innapercue, en vain. L’un d’eux lui attrappa le bras gauche et le plaqua contre le mur. Aie ! Il venait de se faire mal au dos ! Le plus costaud d’entre eux se plaça devant lui, paumes contre le mur, ils étaient nez à nez. Il le regarda droit dans les yeux et lui demanda, non gentiment, de lui donner l’argent de son déjeuné.

   -« Je n’ai pas d’argent, je l’ai utilisé ce midi. » dit-il, appeuré.

   -« Alors tu me donneras celui de demain. »

   -« Je n’en aurais pas, ma maman ne veut plus m’en donner. »

   Il le repeta, ironiquement, puis ses amis rigolèrent.

   Il était desemparé ! Que pouvait-il faire face à ses grosses brutes ? Ils se mirent tous trois à lui cogner dessus, ce qui lui valut, le soir même, de nombreux bleus.

   En arrivant chez lui, il monta jusqu’à la salle de bains, et se regarda dans le mirroir. Son visage était couvert de bleus. Sa mère et son père allaient forcément le remarquer, il ne pouvait pas leur cacher une telle chose, ainsi, lorsqu’ils passèrent la porte d’entrée, il vint vers eux, les larmes aux yeux, et leur expliqua ce qui lui était arrivé. Son père, furieux, voulait amener son fils à l’école, le lendemain, afin de coincer ses « petits merdeux » disait-il. Sa mère, elle, était très inquiète. Elle ne voulait pas que son jeune enfant retourne à l’école, elle avait peur. Elle lui demanda de la suivre jusqu’à la salle de bains, où elle pourrait s’occuper de lui. Elle pensa porter plainte au comissariat, mais elle se résonna et se dit qu’il vallait mieux régler ça avec les parents directement.

   Elle informa son fils qu’il ne retournerait pas à l’école tant que cette histoire ne serait pas réglée. Le lendemain, Jacques, son père, se rendit à l’école pour régler tout ça. Les trois enfants ont été sanctionnés et le petit Luke à pu retourner à l’école. Les instants de bonheur que la belle famille avait vécu revenaient petit à petit, mais ils n’étaient que de courte durée. En effet, alors que la petite famille se remettait doucement de ses émotions, un terrible accident survint. En pleine nuit, alors que tout le monde dormait, un incendie se déclara dans la cuisine de la belle maison. Les parents, ayant leur chambre juste à côté, n’eurent pas le temps de se réveiller. Le jeune garçon ouvrit les yeux et sortit en courant. Ses parents lui avait toujours dit qu’en cas d’accident il ne devait pas se soucier d’eux, qu’il devait sortir au plus vite de la maison. Ainsi il courut jusque chez la voisine, qui se pressa de prévenir les pompiers. La nouvelle était tombée, les parents du jeune garçon étaient morts. Il avait tout perdu, vraiment tout, et ce en un jour seulement. Qu’allait-il faire ? Qu’allait-il devenir ? Il n’en savait rien. Les ambulanciers le prirent en charge dès leur arrivée sur les lieux. Ils s’occupèrent de lui puis l’emmenèrent à l’hôpital. On devait lui faire des examens pour vérifier qu’il allait bien. Une fois ces examens terminés, on devait lui trouver un foyer. On lui trouva une gentille famille, mais elle ne resta pas longtemps sur le territoire. Elle partie en Nouvelle-Zélande. Il partit avec eux, essayant d’oublier. 8 ans plus tard, la famille l’abandonna. Ils le jugeait apte à vivre seul. Ne s’en sentant pas capable, il fût admis à l’orphelinat Moor.

Chapitre 4 : DEBY


   Malrgé son jeune âge, la petite fille avait déjà vécu de nombreux drames. Son histoire sera bien plus courte que celle des autres personnages. De mère au foyer et de père inconnu, la jeune fille avait fait une entrée plutôt fracassante. Son cordon était passé autour de son cou, ce qui l’empêchait de sortir par les voix naturelles. On avait dû la faire sortir par cézarienne. Si je vous ai dit que son entrée avait été fracassante, c’était parce qu’à sa naissance les médecins avaient vu en elle les symptômes d’une méningite. Heureusement pour elle ainsi que pour sa mère, elle n’avait rien.

   Sa mère étant seule, elle devait beaucoup travailler, mais avec sa fille en bas âge, ce n’était pas de tout repos. Ele réussit à jongler entre son enfant et son boulot pendant deux ans, jusqu’à ce que ... Le ciel était bleu et le soleil radieux. La journée s’annonçait merveilleuse. Le jeune mère déposa sa petie fille à la crèche avant de partir travailler. Sur le chemin de son travail, alors qu’elle sortait tout juste d’un feu tricolore, un camion lui barra la route, renversant sa voiture qui se retrouva sur le toit. Le chauffeur du camion descendit de son véhicule, se dirigea vers la jeune femme, afin de s’assurer qu’elle allait bien. Il se baissa et regarda, affalé sur le sol, la jeune femme, par la fenêtre. Elle n’avait pas l’air en très bon état. Il alerta les urgences. 10 minutes plus tard un ambulance était là. Les ambulanciers s’occupèrent de la jeune femme, même s’il avaient l’air d’avoir très peu d’espoir. En arrivant à l’hôpital, il était trop tard. Elle était morte. La crèche prévenue de ce terrible malheur. La petite fille n’ayant nul part où aller fût placée dans une famille d’accueil durant quelques mois. A l’issue de ces quelques mois on retrouva le père de la petite fille, en Nouvelle-Zélande. On l’y envoya afin qu’elle retrouve des liens avec lui. Malheureusement pour la petite fille, son père s’apperçue qu’il ne pouvait pas s’occuper d’elle. Elle fût donc confiée à l’orphelinat Moor.
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Anonymous Invité
Invité
MessageSujet: Re: Mon livre, thème: L'orphelinat.   Mon livre, thème: L'orphelinat. EmptyDim 17 Mai - 19:57

Je déplace ton sujet dans la catégorie des créations :D

J'aime beaucoup tes personnages, mais est-ce que tu pourrais changer le nom de l'orphelinat ? Que tu l'appelles Moor me dérange un peu... ^^
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Anonymous Invité
Invité
MessageSujet: Re: Mon livre, thème: L'orphelinat.   Mon livre, thème: L'orphelinat. EmptyVen 22 Mai - 17:44

Ca va ! Pas de soucis ! Je trouverais autre chose et te dirais ! ^^
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MessageSujet: Re: Mon livre, thème: L'orphelinat.   Mon livre, thème: L'orphelinat. Empty

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Mon livre, thème: L'orphelinat.

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