Avec le theme guerre des Playmobils (c'est chelou, je prévient^^)

Sur le parquet de la chambre éparpillé partout ils sourient, un grand sourire figé sur leur petit visage de plastique, il y'en a des tas, n'importe où, certains sont même perdus, sous le lit où emporté au loin par les petites main potelés de la petite sœur. Ils sont tous immobiles, ils attendent patiemment leur tour, l'enfant joue en poussant des petits cris surexcité qui les titillent, ils veulent jouer eux aussi, ils veulent vivre mille et une aventures, devenirs des héros, aller au cinéma, manger des patates et chanter toute la nuit. Leurs petit yeux regardent ceux qui sont manipulés, toujours les mêmes, ceux qu'on aime. Certains ne voient rien, abandonné dans la boite depuis longtemps, trop, ils aimeraient en sortir. La joie est présente dans toutes la pièce, elle irradie même, ça les touchent et ça les faits souffrir. Ils brûlent d'envie de bouger et de se faire remarquer.

La voix forte de la mère retenti, aussitôt les jouets tenus dans les mains vont s'écraser sur le sol, les petits bonhomme poussent un petit soupir, ça fait mal mine de rien. Ils se redressent comme ils peuvent, pas facile quand vos bras ne se plient pas. Les reclus se mettent aussi en mouvement, leur sourire vire a la grimace, ça fait une drôle d'impression, ces playmobil qui font la tête, on dirait qu'ils sont énervé, c'est la réalité, aujourd'hui s'en ai trop, ces nouveaux leurs volent la place, tout ça à cause de ce grand bonhomme en rouge, à celui là, si ils le tenaient il lui ferait payé. Ils se mettent à marcher vers les petits nouveaux qui discutent entre eux, ils viennent de la même boite, ils se connaissent bien.

On sent la tension, elle a effacé la joie, l'enfant partit les jouets montrent leur vrai visage et c'est bien loin de tout ce qu'on peut imaginer, c'est plus la même ambiance. Le groupe se rapproche de la belle maison où sont installés leur ennemis, il la prenne d'assaut. Les nouveaux ne réalisent pas ce qui leur arrive, ils se retrouvent attaché à leur petits canapé avant de pouvoir réagir, il regardent autour d'eux, ils veulent comprendre. Un vieux playmobil se rapproche, le premier, le tout premier de l'enfant, un peu mâchouillé et sans cheveux depuis longtemps, il porte une coiffure de fille, la seule qu'il a put trouver, il à l'air ridicule et plus personne ne joue avec lui depuis longtemps.

Il se rapproche d'un air menaçant, il veut prendre la parole, leur déclarer la guerre mais un bruit se fait entendre, des pas, dans le couloir, l'enfant revient, le repas a été court apparemment. La porte s'ouvre, aussitôt les jouets se raidissent, reprennent leurs sourires et finissent immobiles. L'enfant regarde d'un air étonné la scène qui se passent dans la maison en plastique. Il fait une tête ébahie, avant de tirer une tête paniqué et partir en appelant sa mère. Une fois qu'il disparaît les playmobil se remettent en mouvement pour regagner leur place, quand l'enfant revient en tirant sa mère par le bras, la scène n'est plus la même, chacun à reprit sa place, chacun, p tout a fait, le vieux aux cheveux de filles est glissé dans un coin invisible de la maison, entre deux faux meubles, attendant son heure.

Hoho, original, mais j'aime XD
Ca me fait trop penser à mon enfance, où j'imaginais ce genre de trucs !

Bon pour Vos persos mis en scène, j'ai eu envie de jouer un petit bout de leur vie avant d'arriver ici, ou du moins avant la période du forum!

J'ai fait que petite Pen pour l'instant, je rajouterais si j'en ai le temps, pour les autres!

La voix du prof de  mathématique appliqué résonne dans tous l’amphithéâtre, la notion du jour est complexe aussi le silence est presque total dans l'amphi, quelque uns discute bien mais ils se voient gratifié de regard noir plus que clair, si ils ne veulent pas se retrouver avec la promo sur le dos. Une voix s’élève cependant pour contre dire le prof, ou faire une remarque stupide, toujours le même, toute a promo le connaît, tout le monde le trouve sympathique, il est vrai qu'il est bon et que la plupart de ses remarques sont justes même si le ton employé lui invite plus à l'agacement, pour Spencer en tout cas, elle pousse un long soupir, attendant qu'il se taise, il n'y a que ça à faire de toute façon, attendre que ce fameux russe se taise, mais il ne semble pas en avoir envie, la jeune femme soupire avant de murmurer entre ses dents :
- « Mais la ferme Alexeï ! »

Le jeune homme pourtant situé plusieurs rangs plus bas se retourne pour lui lancer un regard noirs, elle garde son visage impassible, elle à parlé trop fort, et bien tant pis, il sait que au moins une personne est soûlé par ses paroles incessante. Le cour se finit, sans remarque de la part du jeune homme, on pourrait considérer qu'il est vexé. Le prof finit par poser sa craie dans la gouttière, le tableau immense est recouvert de formules, que chacun essaye de recopier au plus vite, de comprendre aussi avant de pouvoir sortir enfin, au compta goutte, il en faut du temps pour déchiffrer l’écriture du prof. Le rang de Spencer se lève enfin, ses amies se dirigent vers la bibliothèque, elle grimace, il fait déjà presque nuit, elle ne veut pas regagner sa chambre trop tard et elle a besoin de se défiler, elle finit par attraper l'une d'elle pour lui dire qu'elle les laisse.

Elle soupire et vas vers le gymnase, elle se dirige tout de suite vers la salle de boxe, elle a besoin de frapper quelque chose, mieux vaut que ce soit le sac. Elle se défoule un long moment, le gymnase est presque vide aussi elle se sent à l'aise. Elle s’interrompt cependant brusquement, il y a un bruit qui l'intrigue, elle entends de l'orage, qui gronde, elle pousse un petit gémissement, apeuré. Les lumières commencent à clignoter, avant de s’éteindre et de faire naître un cris, elle reste figé terrorisé, elle a peur, elle veut de la lumière, mais elle est incapable de bouger, elle sanglote et reste planté au milieu de la salle.

Elle distingue doucement une silhouette qui se rapproche, elle a envie de crier mais elle entends une voix qui lui dit que ça vas aller, c'est une voix d'homme, elle ne parvient pas à savoir qui, elel soupire, pleure encore, elle sent des bras qui la prennent , elle  sent un torse ferme, elle se blottit, se raccroche au T-shirt de l'autre, en sanglotant toujours, elle a peur, encore, elle enfouie son visage dans le textile, elle tremble comme une feuille, quand le noirs vas cesser ? Elle entends l'autre qui lui parle, encore et encore, faute de mieux le garçon lui refait tout le cour qu'elle vient de quitter, ça signifie qu'il est de sa promo mais Spencer est bien trop mal pour faire le rapprochement. Elle soupire, tout doucement la lumière se rallume, Spencer se détache et tout de suite elle devient pivoine, elle reconnaît Alexeï, celui ci la regarde, elle va attraper son sac et quitte la salle à la vas vite, elle entends l'autre qui l'appelle. Elle regagne son apart, honteuse.

Le lendemain elle se fait toute petite pour ne pas se faire voir, elle se tait quand ses amies lui demande ce qu'elle a, pourquoi Alex l'a interpellé le matin même, elle ne parle pas de ce qui c'est passé. Quand ça se finit elle pousse un peu ceux de son rang pour sortir au plus vite, elle ne veut pas croiser le jeune homme, elle à bien trop honte, elle l'entends pourtant qui l'appelle encore, elle presse le pas et s'engouffre dans les toilettes des filles, pour aller se réfugier dans cet endroit tranquille. La porte s'ouvre, il rentre, elle s'offusque, comment ose t'il, elle lui cri dessus :
- « Nan mais ça vas ? Tu te croit où et puis tu me veut quoi ? »
Il soupire, presque vexé, il se rapproche vient la toucher, lui caresser le visage, il prend un air grave :
- « Je voulais juste m’assurer que tu allait bien, tu m'a fait peur hier, j'aimerais t'aider, vraiment, je ne te veut pas de mal, je sait que tu  ne m’apprécie pas mais tu a besoin  d'aide Spencer, tu le sait n'est ce pas ? Tu panique totalement dans le noir, c'est étrange, je peut t'aider. »
Elle le regarde, et elle soupire avant de faire oui de la tête. Il sourit et lui presse l’épaule avant de la quitter.

C'est ainsi qu'elle le retrouve une fois par semaine, chez lui, ils parlent un peu, de tout, de rien, il l'aide comme il peut, il essaye mais à chaque fois qu'il tente de la plonger dans le noir, c'est la même scène, elle cris et se raccroche à lui, un jour elle le sert plus fort et quelque temps après elle finit par poser ses lèvres sur les siennes, loin de savoir que pour elle c'est le début de la fin.

Oooooh
Ce bon vieux Alexeï que nous n'avons jamais rencontré !
Sérieusement, j'adore ! Et puis la fin, le dernier paragraphe, est à chialer

Ah ben la pour le coup tu ne le rencontrera sûrement jamais a moind qu'on se fasse un délire résurrection
Merci j'était pas sur du résultat je savais pas trop vers où j'allais

C'était pas ce que je voulais dire x)
Et devine sur qui je vais faire ma fic moi