Il y' a des jours comme ça, où tout semble allez pour le mieux dans le meilleur des mondes, ou même votre pire ennemi vous souris, ou vous êtes enjoué, par les rayons du soleil, par le champs des oiseaux et où vous avez envie de chanter et de rire, de pleurer aussi, de joie et d'alègrese devant la beauté de la vie. Il fait un grand soleil, qui illumine tout et qui vous réchauffe même a travers les épaisse fenêtre de l'orphelinat, même le pauvre gamin attaché a l'échafaud, oui, il faisait beau, tellement et une sorte de joie indéfinissable prenait tous le bâtiment, chacun se sentait bien par une pareille journée et l'atmosphère semblait bien moins pesante qu'habituellement, même les surveillants semblaient relativement clément. Oui c'était étrange, cette journée semblait être la journée idéal pour tous.

Pourtant une personne est bien loin d'être emplit de cette joie, aujourd'hui tout vas mal pour lui, il ne supporte pas cette excitation, qu'il ne comprend pas, il préféré s’éclipser, il décide de choisir de partir, il quitte l'orphelinat, vite très vite, se moquant totalement de se faire prendre, la date d'aujourd'hui est bien trop dur à supporter pour lui, elle évoque tant de douleur et de souvenir, il ressent un grand vide en lui, et personne ne peut le combler, pas même Marlene ou Violet, il ne peut pas en parler avec les jumeaux non plus, ils ne comprendraient pas, ils ne savent rien d'Alex, alors il ne peut que se taire et souffrir en silence, il coupe a travers la forêt, avant de déboucher dans le village, il se sent subitement idiot d'avoir fuit l'orphelinat et la foule pour se retrouver là, aussi décide t'il de trouver un endroit plus calme, vide, il ne veut croiser personne.

Il finit par trouver l'endroit idéal, il se rapproche des quais, vide, plus aucun bateau à cette heure, on est dimanche en même temps, mais c'est pas vraiment ça qui le rend si mal, on est surtout le six décembre, c’est le jour de la mort de sa petite sœur, il soupire, il retire ses chaussures, il se laisse glisser sur les pontons et plonge ses pieds dans l'eau, elle est glacé, il s'en moque, il laisse son regard se perdre dans l'océan, il frisonne et puis les larmes arrivent, tout doucement d’abords puis dans un flot continu, il pense à sa sœur, a sa vie et puis ses pensées dérive vers Marlene, cet enfant et cette peur affreuse, que cet enfant soit comme elle, il soupire, il aimerait tant hurler, entendre sa voix qui résonne, il plisse les yeux et se laisse tomber un instant dos contre le bois du quai, il regarde le ciel, il l'imagine là bas.

Puis il se redresse, il attrape un cailloux qui traîne près de lui et le jette avec violence dans l'eau, il finit par pousser un cris qu'il parvient à produire, un son animal, qui exprime la foule de sentiments qui le prend. Il se sent tellement mal, il ne comprend plus rien, il veut fuir, mais il est coincé, il pense à sa fiancé, leur enfant, il se demande quand ils vont pouvoir quitter cet endroit, il espère voir un bateau, ils pourraient en prendre un, tant pis pour ceux qui reste, rester sur cette île c'est rester un peu dans ce passé, il repense encore à Alexandra, il jette une nouvelle poignée de cailloux suivies d'un autre cris, il devient fou, en quelque sortes, il jette et il grogne, sans pouvoir s’arrêter.

Il parti de l'orphelinat. Deux jours plutôt il fêtait ses 15ans. Et elle avait encore oublié. Le jeune polonais avait pensait au positif. Comme elle ne le voyais jamais, elle avait surement pas su comment le lui souhaiter. Il avait donc décider de lui rendre visite. Peut-être voudrait-elle bien lui expliquer pourquoi elle le rejetait... Il toqua donc a la porte de Nihal qui ouvrit. Il devait rêver. Elle ne lui ouvrait tout les tremblement de terre ! C’était un bon début !
Elle était toujours aussi belle.

Toute sa joie parti lorsqu'il remarqua l'air agacé de cette dernière, qui lui lança un "Qu'es que tu veux ?"
Björn baissa la tête et voulu prendre de ses nouvelles. Elle ne lui répondit pas. Il enchaîna donc sur sa requête. Pour toute réponse, elle lui envoya le torchon qu'elle tenait jusqu’à maintenant et claqua sa porte. Le laissant interdit le regard fixé sur la porte. Puis son regard se focalisa sur le tissu sale et troué.
Une tas de questions assailli le jeune homme.Comment vit-elle ? Est-elle heureuse ? Peut-être qu'il lui fait mal en venant si souvent contre son grès... Vit-elle avec un homme ? Si oui, comment est il ? Es-qu'il prend soin d'elle ? Et aussi pourquoi elle ne lui avait pas dit ?

Il parti furieux mais triste. Finalement, il ne sait rien de sa sœur... Et il vient l’embêter sans se soucier de ses sentiments a elle. Björn se sent égoïste.
Il s'en veux, mais elle, elle est aussi en faute.
Il shoot dans les cailloux du chemin les main dans les poches. Puis il arrive sans le vouloir au port. Il s’assoit sur un rocher et regarde l’horizon. Il parti loin très loin. En Pologne, dans la grange avec son père, sa mère les appelles pour le diner. Sa sœur lui lance des regards méprisant, il fermes les yeux. Il ne veut pas garder ces images, il veut des images d'elle souriante. Mais il n’eut tellement peut d'occasions de la voir sourire.

Quand il les rouvris, il remarqua un garçon de l'orphelinat. Un ruban blanc.
Le garçon avait les pieds dans l'eau, il lançait rageusement des poignées de pierres dans l'eau en poussant de drôle de grognement. Björn se souvient. C’était Léandre, le jeune homme était muet, d'où les grognements.
Alors il s'approche en retirant a son tour ses chaussures et en relevant son jean. Puis il se glissa au coté de l'autre en plongeant son regard dans l'eau noir.

-Je te dérange pas ?

Il ne contrôle plus rien, pas même je bruit étrange qu'il produit, il à l'impression d'être une bête, pas un être humain, un animal incontrôlable, dangereux, il est heureux de s'être éloigné de l'orphelinat, la rage qui l'emplit peu à peu est dangereuse, il sait qu'il pourrait faire une connerie, il se connait, il ne peut pas se maîtriser, c'est pire que tout mais ça fait partit de lui, il est habitué, il le cache, ses crise de rage, personne ne le sait, surtout pas Marly, il ne veut pas, elle prendrait peur. Il jette encore les cailloux, son pouls pulse à toute vitesse il est à cran sur les nerfs, il aimerait tant que ce jour n'existe même pas, il aimerait tant pouvoir fermer les yeux, tout oublier, rester au lit toute la journée, il ne veut voir personne, parler encore moins, il veut être tranquille, il se fout des punitions, il se moque de se faire prendre, après tout ce n'est pas grave, une broutille. Il lance encore des cailloux avant de fermer ses yeux, il remue ses pieds, il se demande ce que ça ferait de sauter, l'eau est froide, est ce qu'il mourrait?

Il soupire, chasse ses pensé, un visage s'impose à son esprit, celui de Marly, il ne peut pas faire de connerie, il ne peut pas faire ça, il lui ferait du mal et ça il ne le veut pas, d'autant plus qu'il n'y a pas qu'elle, il doit penser à son bébé, leur bébé plutôt, leur enfant, il ne peut pas le rendre orphelin, il ne peut pas la laisser seul, il serait égoïste et il ne veut pas qu'on garde de lui cet image. Aujourd'hui est un mauvais jour mais il y'en a beaucoup d'autre dans une année, mourir n'est pas une solution, Leah le sait alors il se maudit lui même d'avoir eu cette idée. il soupire et rouvre doucement les yeux, contemplant l'eau qui lui fait face, il sait que très loin derrière, quelque part en Australie sa sœur repose, dans un petit cimetière, il se rappelle bien de l’enterrement. De nouveau il déglutit et il s'apprête à se recoucher sur le ponton quand une voix le fait doucement sursauter.

Il se tourne pour voir une personne qui se glisse à ses cotés, lui demandant si il dérange. Léandre souffle longtemps, si à vrai dire l'autre dérange, il voulait être seul, il avait envie de se concentrer sur le silence, le bruit de l'eau et celui des oiseaux, il ne veut pas faire la discussion, encore moins à ce mec qu'il ne connait presque pas, il l'a déjà vu, il sait qu'il vient de Moor aussi et ça l’énerve encore un peu plus encore, mais c'est Leah alors il force un sourire, un poil triste cependant. Il finit par fouiller sa poche, il en sort son portable et commence à taper, seul moyen de communiquer, il tend l'appareil avec un petit sourire et laisse l'autre écrire pendant qu'il s'allonge sur le ponton attendant que Bjorn réagisse à ces mots:
- "Un peu mais bon, tant que tout l'orphelinat ne débarque pas! Alors dit moi ce que tu fait là."
Leah fixe les nuages, le ciel, là haut, tout là haut, est ce que sa sœur est là bas?

Lorsque les onde firent vibrer mes cordes vocales, le garçon à qui je m'adressais sursauta légèrement.
Ce dernier lui lance un long soupire. Il fini par me faire un sourire triste.
Je regretta alors d'être venu. Il faut croire qu'à chaque fois qu'il rencontre quelqu'un il gène.
Mes pensées se dirigèrent vers le visage de ma sœur. Elle était si froide avec moi... Sans que je sache pourquoi... Enfin bref.
Le prénom du ruban blanc lui revint en tête lorsque ce dernier lui tendit son portable avec une écriture dessus, Leandre. Oui je vois parfaitement qui il est.
Je lus le message qu'il m'avais écrit et sourit à la première phrase et lui répondit en toute honnêteté.

- Désolé je ne voulais pas te déranger. Je voulais simplement réfléchir au calme de ce qui ce passe... La réponse que je cherche à avoir... Es-ce que j'arriverais à l'obtenir ?

je revis le regard que ma sœur m'avait lancé quelques minutes plus tôt, a ses paroles froides. Puis je sentis le torchon qu'elle m'avait jeté a la figure je je regardais en soupirant sentant les larmes venir. Je les repoussa et dans un soupire je me répondis a moi même.

-Surement pas. Enfin bref !
Et toi qu'es qui à diriger tes pas ici ?

Je regardais le ruban blanc les coudes sur les genoux et lui tendis son téléphone pour qu'il puisse me répondre.

Leah avait été honnête, il ne supportais pas les mensonges alors oui il avait avoué que Björn le dérangeait mais l'autre semblait l'avoir assez bien prit. Il soupira continuant à jouer avec ses pieds dans l'eau assez froide, il se demanda si il allait tomber malade, mais il s'en moquait, il se foutais de choper une maladie, passer un moment à l'infirmerie lui semblait même une idée agréable. Le ruban blanc s'excusa mais Léandre fit un petit signe de tête ce n'était pas si agréable, de toute façon il avait l'habitude, orphelinat et intimité ne faisait pas vraiment bon ménage. Leah se redressa pour se retrouver de nouveau assisse sur le ponton.

L'autre semblait troublé, il pourrait faire un club en fait, il avait des questions dont il doutais d'avoir un jour les réponses, Leah comprenait, totalement. IL repensa à ce qu'il avait fait il y avait peu, en cachette de tous le monde, de Marly mais surtout des jumeaux aussi. Il avait contacté son avocat pour demander une visite, il allait faire un tour en prison, il avait des questions à posé à ceux qui lui avaient donnés la vie, c'était important, pour le bébé, il avait besoin de savoir mais il redoutais ce rendez vous, revoir cet homme. Il reprit son téléphone.

Le jeune homme lui demanda pourquoi lui était là, il soupire encore et fit tourner son téléphone entre ses mains, il ne savait pas quoi répondre, il avait trop de truc en tête. Finalement il commença à taper sur le portable. Il fit glisser l'appareil vers le garçon :
- « Aujourd'hui est un jour un peu particulier et puis je me prépare à un moment assez compliqué, je doit mettre de l'ordre dans mes pensés. »
Il soupire encore, oui il fallait qu'il sache comment réagir en revoyant cet homme et il se demandait comment ce dernier allait réagir aussi, se retrouvant face à un jeune homme assez baraqué alors qu'il avait abandonné un gamin maigrichon et apeuré, il se jura de na pas parler, enfin écrire ou signer, de ses fiançailles ou du bébé.

Björn regardai l'eau avec un regard vide. Il se remettait en question. Encore une fois. Il ne comptait pas le nombre de fois où il l'avait fait pour espérer trouver quelque chose de crédible pour une réponse  a sa question. Le but de sa vie était devenu cela. Chercher le pourquoi du comment. Aujourd'hui, il aller encore essayer. Il chercha, au plus profond de ses souvenir, les plus petits et les plus important, le moindre geste qu'il aurait pu faire. Le moindre regard que sa sœur lui portait. Peut-être ne pouvait-il pas se souvenir. Peut-être était-ce un événement d'avant sa naissance...
Il soupira et se laissa tomber sur le dos sur le ponton en bois. Les yeux plongés dans le ciel.
Il entendit le son d'un objet que l'on pose sur le bois, il tourna la tête et vit que c’était Leandre qui lui donné son téléphone. Björn le saisi et lu. Alors comme ça le ruban blanc était dans une mauvaise période... Cela se lisait sur son visage, c'est vrai. Un moment difficile, dans un jour particulier... Le garçon avait une petite idée. Bien triste mai peut-être et fortement vraie.
Il rendit son téléphone au plus grand.
"Mmh je vois" il se redressa et lui sourit doucement, compatissant. "courage. Je te comprend."